1. Marie et le sculpteur aveugle (10)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Erotique,

    ... Robert qui regarde le spectacle avec des yeux lubriques, m’excitent progressivement. Le Prof commente de sa chaise « J’aimerais bien voir ça mais, de toute façon, Brigitte va devoir enlever ses vêtements aussi pour prendre la pose de cette nouvelle sculpture » « Eh bien, aide la Marie, hé hé hé » fait le vieux pervers de Robert. L’envie de la foutre à poil et d’être à égalité ne me déplairait pas. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Elle est aussi forte que moi et passer un T-shirt par-dessus les épaules de quelqu’un qui résiste n’est pas chose aisée. Je transpire comme une folle et me mets dans des poses invraisemblables qui exposent outrageusement mes parties intimes pour le plus grand plaisir de Robert qui ne peut résister à faire quelques clichés et à commenter. Je sens que je mouille ! « Personne ne m’a encore déshabillé de force ; si je me désape, c’est uniquement moi qui le décide » fait Brigitte d’un air goguenard en résistant à tous mes assauts. « Ou pour quelques billets aussi, non ? » fait Robert qui semble en savoir pas mal sur les activités nocturnes de la sœur d’Alain. « Oui, et t’aimes bien mater, hein tonton quand tu viens me voir sur scène ?» répond-t-elle effrontément. Je n’en crois pas mes oreilles. Robert se sent un peu gêné quand même et on ne l’entend plus pendant les quelques roulades suivantes durant lesquelles mes jambes font le grand écart malgré moi, offrant une vue imprenable sur ma chatte glabre. « Woah ! Tu t’es rasée la chatte petite ...
    ... coquine ?? Mmmm pas un poil qui dépasse... décidément... » ajoute Brigitte qui me mortifie de honte et n’hésite pas à m’attraper par les fesses et prétendre me repousser pour mieux palper mes seins aussi ! Elle semble prendre un évident plaisir à m’étreindre contre elle et à m’exposer aux regards de son « tonton ». Je tire sur son T-shirt mais il ne se déchire pas et je m’épuise. Et soudain, alors que je me retrouve coincée sous elle et qu’elle me tient les bras écartés, elle m’embrasse goulument ! « Lâche moi ! » Je tourne la tête de gauche à droite et me débats comme une dingue en protestant devant cette agression mais ça ne fait que l’exciter davantage. Puis, joignant mes deux mains au-dessus de ma tête, elle me tient les poignets d’une seule main et, de l’autre, arborant un grand sourire moqueur, l’insère entre nous deux jusqu’à atteindre mon intimité qu’elle touche sans autorisation pour découvrir mon sexe tout humide. « J’en étais sûre…t’es une gouine mais tu le sais pas encore ma belle » C’en est trop, au prix d’un ultime effort, je libère mes mains et la repousse violemment pour me dégager. Je récupère mon T-shirt et m’essuie la bouche pour lui signifier ma désapprobation de ce baiser volé et de ses conclusions hâtives. Elle reste assise et me contemple en riant malicieusement. « Bon, quand ces mesdemoiselles auront fini de faire connaissance, est-ce qu’elles pourraient avoir mon attention » lance le Prof un peu agacé. Je me rapproche du Prof et avale un verre de ...
«1234...14»