1. Le fol anniversaire d'Antonia (2)


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... avaient raconté ses cousines. "Non hanno mentito", rit elle en se rhabillant. Je referme et nous prenons toutes les précautions pour revenir à la fête sans être remarqués. Je rends la clef à Viviane : — Alors ? Je réponds d’un clin d’œil et lui dis que le compte rendu attendra. Musique, alcool, soleil, jeunes : un bon cocktail pour que la fête s’embrase. Elle reste néanmoins soft, peut-être est-ce dû au lieu, malgré quelques cas bien imbibés. Je rejoins un groupe de gens de mon village et papote ça et là. Un moment plus tard, Viviane s’approche de moi : — Vanessa, en face de toi. J’ai surpris une conversation tout à l’heure entre elle et Anne-Marie. Elle en pince pour toi et depuis assez longtemps apparemment. Elle rit et poursuit : — Elle est célibataire, toute belle aujourd’hui dans sa robe noire et blanche et je n’ai pas l’impression qu’elle attendra longtemps. Je te laisse imaginer. — J’imagine… — Je te laisse la clef ? thstyyrj — Tu n’en as pas besoin, toi ? Elle rit à nouveau : — Le compte-rendu attendra. Elle glisse la clef dans ma poche et s’éloigne en riant. Je m’approche de Vanessa, 30 ans, qui discute avec un couple que je ne connais pas. Vanessa me présente. Rapidement, ils prennent congé et j’entraine Vanessa au bar. C’est une petite brune, fine et musclée. Après quelques banalités, je lui demande si elle veut aller faire un tour et je n’ai pas besoin de lui faire un dessin concernant le sens de ma demande. Moins d’un quart d’heure après la discussion avec ...
    ... Viviane, j’entraine Vanessa à l’intérieur. En haut des escaliers, je change de direction et ouvre, au hasard, une autre porte à gauche. La chambre. Celle dont Antonia se sert pour la journée apparemment, remplie d’habits et de paquets. Un grand lit, haut. Vanessa se dirige vers la fenêtre. Je viens derrière elle et commence à dézipper sa robe. Elle enroule ensuite les épaules, la fait tomber à terre et se tourne, souriant timidement. Baiser passionné. Vanessa me déboutonne, mon pantalon tombe. Elle caresse mon sexe qui durcit à travers mon caleçon. Elle se mord la lèvre inférieure en souriant, s’agenouille et sort mon engin en prenant son temps. Elle commence à me sucer. Pas trop mal, mais je m’attendais à mieux de sa part. Elle se relève et je l’entraine sur le lit. Je retire son string et lui fais un long cunnilingus. Elle jouit, tombe son soutien-gorge et caresse ses petits seins. Je viens sur elle et la pénètre. Elle gémit longuement et je lui dis que la porte n’est pas épaisse. Elle rit. Le lit, monté sur ressort, est parfait pour y faire l’amour pour autant qu’on prenne le rythme. C’est plus simple lorsque Vanessa passe à califourchon sur moi. C’est d’ailleurs dans cette position qu’elle me fait jouir. Comblée (elle a jouit à deux autres reprises), elle s’allonge sur moi et nous restons ainsi quelques minutes. Elle me fait promettre que cet ébat ne restera pas unique. Je lui réponds qu’à partir du moment où elle n’attend rien d’autre de moi, c’est envisageable. Quelques ...