Le pot de départ (4)
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... rien à voir. J’enculais Séverine aussi facilement que je l’avais baisé et le meilleur là-dedans : elle prenait autant son pied qu’en la baisant ! Avachie sur son bureau, les fesses bien relevées, je la défonce avec entrain alors qu’elle me crie de taper toujours plus fort, toujours plus vite. Elle était toujours aussi avide de domination brutale malgré plus d’une demi-heure de baise et un ou deux orgasmes. Je le redresse d’un coup en la tirant par les cheveux et continue de l’enculer tout en la plaquant debout contre le mur. Je me retire de temps en temps en écartant ses fesses pour mater avec perversité son anus béant, y enfoncer trois doigts et, enfin, y replonger ma bite d’un coup. Alors que je sens à nouveau l’orgasme monter en moi, je l’encule de moins en moins et la doigte de plus en plus pour m’économiser. Evidemment, alors que j’ai quatre doigts bien enfoncés dans son fion, l’envie d’y fourrer tout mon poing est très forte ! Je joins donc mon pouce à mes autres doigts et les enfonce tranquillement dans son cul. Séverine, toujours debout, le front collé au mur de son bureau et le cul bien cambré en arrière, gémit comme une chienne à chaque fois que mon poing écarte son anus pour pénétrer son colon. Et c’est avec un « oh putain » de plaisir malsain que je vois ma main disparaitre en elle et les parois de son trou de balle épouser la forme de mon poignet. A l’intérieur de son intestin, je joue avec mes doigts, essaie de les écarter pour la dilater de l’intérieur et ...
... continue de m’enfoncer toujours un peu plus pour tester sa résistance. Comme lorsque je l’enculais, je me retire pour observer son trou immense, tire sur les parois pour l’écarter encore un peu plus et enfourne à nouveau mon poing fermé, comme un bourrin. Cette fois, elle crie de surprise et de douleur et, alors que je m’enfonce encore un peu plus, ses gémissements de plaisir se muent en gémissements de d’appréhension, de gêne puis de souffrance. Alors que sa main se pose sur mon avant-bras pour m’inciter à y aller plus doucement, je décide de calmer le jeu et retire doucement mon poing. — Désolé… je — Ne t’excuse pas ! me coupe-t-elle. Je t’ai demandé d’être bestiale et pour l’instant, c’est parfais… Mon cul a connu bien pire que ce que tu viens de faire ! Je la plaque alors à nouveau contre le mur et l’encule le plus sauvagement possible, comme un bourrin. Il me faut alors la plus grande maîtrise de moi pour ne pas jouir et me retirer à temps. Je l’allonge à nouveau sur son bureau et lui lèche la chatte et le clito. J’ai toujours adoré ce genre de caresse, autant que de me faire sucer, je pense. Là, je me fais plaisir autant que je lui fais plaisir en enfonçant ma langue en elle, en mordillant son clito ou en la doigtant à toute vitesse pour la faire monter. Un orgasme la secoue d’ailleurs rapidement et, à ma grande surprise, me trempe la main par une émission impressionnante de mouille. — Encore… me dit-elle en soupirant. — Encore quoi ? — Doigte-moi encore… Tu vas voir ce que ...