1. Fusion


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... analyser toute cette documentation. Je retrouvais Ben dans son bureau afin d'en savoir plus. Il m'informa qu'ils avaient été très impressionnés par Didier, qui non seulement avait démontré sa capacité à diriger sa filiale, mais aussi en avait profité pour les accompagner dans les meilleurs endroits de la ville. Décidément, la pression était pour moi. Que faire de plus? Si sur mes capacités professionnelles, je n'avais pas de doute, je n'étais pas moins bon que Didier, mais pas meilleur que lui. Donc, ce n'était sur ce point-là que je pouvais faire la différence. Paris by night ... Bof ... C'est alors que je me rappelais avoir distingué une alliance chez chacun de mes « clients ». Sachant à quel point la famille était importante en Afrique, je compris que la différence était là. Didier était célibataire, donc sans assise familiale, j'étais marié, avais deux enfants eux même mariés. J'allais donc les inviter à dîner chez nous, au cœur d'une famille, voilà mon atout gagnant. Pendant le repas du midi, je leur proposai donc ainsi qu'à Ben de venir dîner chez nous le vendredi soir suivant afin de fêter la fin de leur mission. Le soir, j'informai mon épouse Marie-Laure de cette importante invitation, sans lui préciser les risques. Ma femme est un véritable cordon bleu et, de ce côté, je savais ne rien avoir à craindre. Le vendredi matin en question, après avoir dit à mon épouse de se faire belle et féminine pour le soir, je retrouvai mes deux juges à mon bureau. L'inspection se ...
    ... termina vers midi. Nous partîmes déjeuner et passâmes le reste de l'après-midi à un dernier jeu de questions-réponses. Ils semblaient satisfaits. Ce que me confirma Ben discrètement. Ils n'arrivaient pas à nous départager professionnellement. Vers 19h00, nous partîmes à la maison. Je prévins discrètement Marie-Laure de notre arrivée. Parvenus à destination, avant même de sonner, la porte s'ouvrit sur ma ravissante épouse. Elle se doutait que cette réception était importante et s'était apprêtée en conséquence. Le coiffeur avait fait merveille avec ses longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules. Son petit chemisier blanc à jabot cachant sa poitrine que l'on devinait bien remplie sans être importante, sa jupe arrivant aux genoux, puis ses jambes gainées de noir terminées par des escarpins à hauts talons fin de la même couleur offrait le tableau de la femme idéale. Malgré ses 48 ans, Marie-Laure en faisait 10 de moins. Je l'embrassai en la remerciant discrètement et constatai par la même occasion, au touché, la présence de porte-jarretelles que nous affectionnions tant dans notre intimité. Elle me sourit, tout aussi discrètement, et me rendant mon baiser, me dit : - C'est pour après leur départ, pour te détendre. Je présentai Théodore et Félix à Marie-Laure qui connaissait déjà Ben et nous passâmes au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Ma femme était une hôtesse remarquable et chacun put en juger tant elle était attentionnée pour chacun d'entre nous. Après un ...
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