1. Histoire d'une fève


    Datte: 18/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... lèvres et en même temps trois de mes doigts s’introduisent en toi. Alors qu’ils se trouvent l’intérieur, tout au fond et en face d’eux, ils touchent la paroi qui te fait immédiatement réagir, je ressens cela dans tes cuisses et dans ta voix qui râle. Je ressens également ce ruisseau qui commence à couler sur ma paume des mains. Le bout de mes doigts quitte cet endroit pour aller tapoter en son intérieur le haut de ton ventre. Ils trouvent là ta petite grenade, prête à exploser, plus grosse qu’une fève qui à chaque coup, projette un liquide chaud à l’extérieur de ton sexe. Ma langue se trouvant à proximité, lèche cette fontaine et ma bouche s’abreuve de ta jouissance. A chaque fois, tu mouilles ma face qui se lave dans ce bain. Je bois abondamment ce jus chaud, je l’avale à chaque coulée. Le bout de mes doigts vont maintenant tout au fond de ton sexe et se dirige vers le bas, la fontaine recommence à pleuvoir. Et oui, je viens d’ouvrir les trois serrures de ton trésor, qui maintenant m’est ouvert. Je n’ai pas encore trouvé la fève, mais ma bouche avale le bouton qui se trouve sous le petit capuchon, et ce petit bouton est sorti comme mon sexe hors de son slip. Sur ta demande, j’ai tout quitté, c’est mon pénis qui est en toi, à chaque coup de butoir je ressens de la fièvre, je te ...
    ... percute violemment, je m’enfonce en toi jusqu’à la garde, mes testicules percute ton entrecuisse, ma verge glisse dans cette mouille que j’adore, je suis sur toi que par la force de mes bras et de mes orteils, la seule chose qui nous relie c’est nos deux sexe. Mon pénis dans ta chatte, ma bitte dans ton trou, ma perle dans ton huitre, ma bougie dans son allumoir, ma verge qui gonfle, ma couronne sur ta fève…….. Je donne et je redonne ces coups, bien placé, bien perforant. Je m’enfonce en toi de plus en plus vite, de plus en plus profond, tu t’ouvres de plus en plus, tu ne reçois pas les coups mais tu les avales, tu les attires, tu les veux, tu les demandes et encore une fois, ta fontaine jaillit, mon sperme éclabousse ton intérieur, puis je sors mon pénis serré dans ma main pour jaillir, éjaculer, gicler sur tes seins ton visage et tes cuisses. Et tout cela dans un rugissement mutuel. Tu te redresses violemment pour prendre en bouche mon vis, tu l’avale rapidement pour goûter à ce liquide chaud et sucré que tu aimes tant. Tu m’aspires jusqu’à la dernière goutte et je rugis de plaisir. Ce n’est qu’à la fin de cette fouille corporelle, sexuelle, démesurée, que je t’embrasse langoureusement, ma langue enlaçant la tienne, et là…….je trouve la fève dans ta bouche…Sacré Fête de Saint Nicolas….. 
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