1. Y a-t-il une limite au plaisir ? (5)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    8h30 au réveil, Thomas se lève ce dimanche matin alors qu’Annie dort encore à ses côtés. Sans un bruit il va pour quitter la chambre mais se retourne. Elle est nue dans le lit, la couette sur tout son corps exceptée la jambe gauche. Il devine le haut de la cuisse. Tout proche il y a son sexe, Thomas le désire instantanément, il voudrait tant soulever la couette et s’y glisser, la voir, la regarder, la lécher doucement, sensuellement, la réveiller par le plaisir. Il le veut tant et pourtant il quitte la chambre, se brosse les dents, s’habille et sort dans la rue. Il passe à la boulangerie pour prendre les viennoiseries et une baguette. Il remonte et fait couler le café. Il prépare un plateau avec les boissons, dépose du pain frais beurré, les viennoiseries et un coquelicot qu’il a ramassé sur la route. Du bruit arrive de la chambre, elle se réveille. Il sert le café et s’avance vers la chambre. Elle sourit; c’est le réveil qu’elle souhaitait. "Veux-tu vraiment prendre le petit déjeuner avec moi ? demande-t-elle — Heuu… Thomas hésite, ce qu’il veut c’est sa chatte. — Déshabille-toi, passe sous les draps et donne-moi du plaisir." Thomas se jette en dessous, il voit ce beau sexe, quelques poils taillés au sommet, des grandes lèvres peu ouvertes, des petites lèvres plus foncées. Le clitoris est tout petit sous son capuchon. Il commence par l’embrasser doucement, alterne avec les cuisses, il caresse l’ensemble, il le sent, le lèche du bout de la langue. Les lèvres se gonflent et ...
    ... s’ouvrent, la partie externe du clitoris est plus apparente maintenant, sa langue remonte du bas de la vulve vers le haut, tourne, redescend. Il suce à pleine bouche, pince du bout des lèvres. La pression est montée en lui, il a vidé son esprit et se jette corps et âme dans ce cunnilingus intense, sans notion du temps, seulement les vibrations de sa maitresse. Une main tombe sur son crâne et l’appuie encore contre la vulve offerte. "Lèche moi encore plus fort, oui ! " L’ordre lui est donné, il enfonce sa longue langue dans le vagin, la glisse entre les grandes et les petites lèvres ; l’effet est dévastateur, Annie gémit de plus en plus, elle se tord, serre sa tête avec ses cuisses, remonte son bassin pour mieux sentir son homme. L’orgasme déclenche du plaisir chez Thomas qui s’engage d’autant plus, les amants sont dans un cercle vicieux, le plaisir de l’un appelle celui de l’autre. Si les cris de Thomas sont étouffés, Annie gémit comme rarement. Passé ce premier plaisir, elle inspire profondément et repousse sa tête pour l’arrêter, il pourrait sûrement y passer la journée. Ce dernier sort des draps et approche le plateau. "Merci de m’avoir offert ton sexe, je le désirais depuis mon réveil. — Je sais, tu as été très bon - elle l’embrasse - tu es fait pour ça tu sais, tu le fais bien et il faut que tu continues à progresser. - Oui, je m’en rends compte, ton plaisir et le mien ne font qu’un, c’est incroyable ce que j’aime être pris dans cette folie sexuelle". Le petit déjeuné est ...
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