1. Un bonheur presque parfait


    Datte: 22/08/2017, Catégories: fh, fhh, fhhh, fbi, extracon, cocus, handicap, boitenuit, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe jouet, mélo, amourdura, amourpass, amourdram, regrets,

    ... quelques instants, puis lui demande si je peux venir avec elle ; elle me répond qu’elle en avait très envie, mais qu’elle n’aurait jamais osé me le proposer. * * * Nous avons passé le week-end chez ses parents. Ils m’ont reçu avec beaucoup de gentillesse, comme si nous n’avions jamais été séparés. Sa maman m’a accroché par le bras, m’a pris en aparté pour me dire qu’elle était très heureuse de me revoir, que depuis notre séparation elle ne reconnaissait plus Chloé, qu’elle était souvent triste et que je devais lui manquer. Elle a ajouté : — Je crois qu’elle n’a jamais cessé de t’aimer ; mais tu le gardes pour toi : elle m’en voudrait beaucoup. Elle est si fière… Nous avons déjeuné sur la terrasse ; nous étions tous d’excellente humeur. Le repas terminé, Chloé est allée préparer le café. J’ai profité de son absence pour parler à ses parents : — J’ai quelque chose d’important à vous demander… Les parents et l’oncle me regardent avec étonnement, car je ne les ai jamais habitués à de telles saillies. — Malgré notre longue séparation, je n’ai jamais cessé d’aimer Chloé, et mon plus grand rêve serait de vivre ma vie avec elle… de la rendre heureuse… de lui faire des enfants… Tous trois me regardent, émus ; la maman a la larme à l’œil. De ses deux mains elle prend appui sur le bras de son mari. — Je sais que nous sommes encore jeunes, que nous avons eu un passage difficile et que nous pourrions prendre un peu plus de temps pour réfléchir… À ce stade, la maman pleure comme une ...
    ... fontaine. Le papa la prend par les épaules et l’oncle par le bras pour la soutenir. — … mais je sais aussi que je ne peux et que je ne veux plus vivre sans elle ; c’est la raison pour laquelle je suis venu ici aujourd’hui. Maintenant, ils sont trois à avoir la larme à l’œil, avec la maman qui a pris une avance considérable. — Acceptez-vous de me donner la main de Chloé ? L’émotion les empêche de répondre. Après quelques instants, le papa s’éclaircit la gorge pour prendre la parole, juste au moment où Chloé revient avec le café ; elle le pose sur la table basse puis regarde ses parents, soudainement affolée par les visages en pleurs. Elle demande avec appréhension : — Que se passe-t-il ? La réponse ne venant pas, elle s’inquiète : — Vous me faites peur ! Que se passe-t-il ? Son père balbutie : — Maxime… demandé… ta main. Elle me regarde, inondée de bonheur, me saute au cou, me renverse sur la table en cassant moult vaisselles, s’allonge sur moi et m’embrasse avec passion. J’ai l’impression qu’elle va me violer sur la table. Quand elle quitte ma bouche, c’est pour me dire : — OUI, OUI, OUI, j’accepte, mon amour ! Ils sont maintenant quatre à pleurer, et je ne suis pas mieux. Ils m’embrassent tous avec tendresse. Chloé me regarde étreindre ses parents, puis me dit : — Mon chéri, en te renversant sur la table, j’ai taché ta chemise. Viens avec moi dans la salle de bain, on va arranger ça… * * * Il nous a fallu un week-end entier pour nettoyer la chemise, mais cela n’a pas suffi, car à ...