Un bonheur presque parfait
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
fbi,
extracon,
cocus,
handicap,
boitenuit,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
Partouze / Groupe
jouet,
mélo,
amourdura,
amourpass,
amourdram,
regrets,
... me soulager, mais je n’ose… Soudain, Chloé perd le contrôle de son corps et crie sa jouissance en me regardant, puis s’avachit sur Quentin, semblable à un pantin désarticulé. Quand elle a repris ses esprits, ils vont dans la chambre. Je les regarde du salon sans entrer dans la pièce, honteux de mon voyeurisme. Quentin est allongé sur le dos, Chloé me tourne le dos ; le sexe tendu planté dans son vagin, elle remue ses fesses avec beaucoup de sensualité. C’est très beau et très érotique, mais j’ai mal. Elle tourne la tête, m’aperçoit, fait demi-tour pour pouvoir m’observer ; elle caresse son clitoris tout en s’empalant. Lui caresse les seins de sa maîtresse avec beaucoup de dextérité. Le regard de Chloé me parle ; je n’arrive pas à tout décoder. Elle doit me dire qu’elle m’aime, qu’elle aime aussi se faire prendre par un autre devant moi, qu’elle aime voir mes yeux hallucinés et sentir la jalousie qui me taraude, qu’elle ira jusqu’au bout de son plaisir… Qu’elle est belle… et dire qu’elle est à moi ! Je n’oserai raconter à personne ce que je demande à Chloé : on me prendrait pour un imbécile, un fou ou un pervers. Pourtant j’ai osé, et je ne sais pas encore si je vais le regretter, car leur étreinte est de plus en plus sauvage, et de voir le corps de Chloé subir le joug de Quentin me fait très mal. Chloé me regarde après chaque orgasme, cherchant dans mes yeux le signe de mon renoncement. Elle semble me dire « C’est bien ce que tu voulais ? Es-tu rassasié ? Moi, j’ai de plus ...
... en plus faim ! » Comme j’essaie de me montrer indifférent à sa provocation, je la vois humecter ses doigts dans sa bouche en me regardant fixement, puis pénétrer son anus pour le préparer à la prochaine saillie. Alors mon cœur s’arrête de battre, ma gorge est sèche, j’ai envie de pleurer… Seule ma bite imbécile se réjouit par avance du spectacle auquel je vais assister. Je n’en peux plus de les regarder ; je me tourne, m’éloigne, mais je les entends, trop bien… Ils continuent leur corps-à-corps, longtemps, très longtemps, trop longtemps, indéfiniment… Je voudrais maintenant qu’ils s’arrêtent, pouvoir rentrer, embrasser Chloé, lui dire que je l’aime, que je regrette, mais ils n’en ont jamais assez. Les cris de Chloé me vrillent les tympans, ses abandons me coupent la respiration… Je voudrais fermer la porte pour ne plus entendre ses cris, mais ce serait reconnaître mon erreur. Alors je me résigne… La nuit arrive ; Chloé est assoupie sur le lit de Quentin, épuisée, rassasiée. Quand j’entre dans la chambre, l’odeur de sueur et de mouille inonde mes narines. J’aperçois d’abord le visage d’ange doucement éclairé par la lumière orangée du soir qui contraste avec son corps pantelant, rompu par son libertinage. Elle est parcourue à intervalles réguliers par de petits spasmes, résurgences de ses multiples orgasmes ou rêves érotiques. L’acte est consommé. Je crève de jalousie et ne ressens plus l’excitation de tout à l’heure. Inconsciemment, j’aurais souhaité qu’elle prenne moins de ...