1. Terma 27 – Avec ma femme, en vacances au bord de mer :


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... les ai retrouvés juste au moment où l’homme rejoignait ma femme. Il lui a tenu et baisé la main, puis ils sont partis le long des cabines, pour s’arrêter enfin devant la dernière que l’homme à ouvert, avec une clé semble t-il, et où ils sont rentrés en fermant la porte. J’ai contourné toutes la rangée et je me suis assis, par terre, juste contre la dernière cabine et j’ai tendu l’oreille. Ainsi, j’ai pu entendre, mais avec difficulté, quelques bribes de leur conversation. En réalité, ce que j’ai entendu, c’était des halètements accélérés, des froissements de vêtements, puis les gémissements de ma femme. Comme j’avais pratiquement mon dos contre la cabine, je ressentais les mouvements de la cabine. Ainsi, j’ai ressentis nettement, et deviné, les chocs des vas et viens puissants du zob dans la chatte ou la terma de ma femme. Maintenant mes oreilles percevaient mieux leurs souffles accélérés et leurs gémissements de plaisir. Pire, j’ai même discerné les légers et érotiques « flop-flop » humides et accélérés que faisait le zob en entrant et sortant du sexe, noyé de cyprine, de ma femme. Ces affolants « flop-flop » suivaient le rythme des « han-han » de l’homme chaque fois qu’il s’enfonçait dans ma femme. J’étais excité et ma bite commençait à se gonfler. Je voulais me masturber, mais, juste à ce moment, quelques jeunes se sont manifestés un peu plus loin, derrière les cabines. Ils tenaient des bouteilles et se soulaient, sans me remarquer. Alors, je me suis débiné en vitesse. ...
    ... Ensuite, assis sur le sable, au milieu de la foule, à plusieurs mètres des cabines, j’attendais que les deux amants terminent leur partie de plaisir. Il leur a fallu plus d’une heure pour jouir de leurs sexes dans cette cabine, où mon imagination galopait à me rendre malade de désir inassouvi. Enfin, ils sont sortis de la cabine et se sont dirigé vers le comptoir d’un café de la plage, où ils consommé deux verres de limonade et acheté une bouteille d’eau. Normal qu’ils soient assoiffés après plus d’une heure de baise et de sodomie. Ils ont discuté un moment, puis ils se sont séparés. Ma femme, la bouteille d’eau à la main, s’est dirigée vers notre coin de plage et l’homme est parti de l’autre coté. Alors, je me suis hâté pour rejoindre notre coin de plage, juste au moment où ma femme arrivait, bien couverte avec son hijab, sec, et le foulard sur la tête. Comme à son habitude, pour noyer le poisson, elle passe à l’offensive. Elle m’a reproché d’avoir tardé en la laissant toute seule. Et moi, pour voir sa réaction, je lui ai répondu que tout à l’heure, je suis revenu mais elle était absente. Sans perdre son sang froid, elle m’a répondu qu’ayant soif, elle était allé se désaltérer auprès des cafés et elle m’a montré la bouteille d’eau, l’hypocrite. Mais je reconnaissais facilement le visage détendu et enjoué de ma femme quant elle a assouvi ses désirs sexuels. Elle n’arrivait pas à le dissimuler, de même que lorsqu’elle est fâchée et désappointée quant elle a soif de grosses bites. ...