La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°916)
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’effort pour tenter de se libérer. Une magistrale gifle s’abat sur son visage, l’étourdissant et la déstabilisant. Sous le choc, elle vacille et tombe à genoux dans un cri de surprise. Profitant de la proximité de son visage, le garde dénoue ses chausses, fait sortir son sexe déjà tendu et le présente à la jeune femme encore étourdit. Elle résiste encore malgré ses forces diminuées et le garde lui saisit la tête par de grosses poignées de cheveux, ce qui lui fait échapper un cri de douleur et ouvrir la bouche de douleur. Alors, le garde n’hésite pas une seule seconde pour engouffrer sa queue jusque dans sa gorge et commença à lui limer la bouche pendant quelques minutes, il lui baise sa cavité buccale jusqu’à la jouissance. Un long flux de semence s’écoule dans sa bouche qui laisse échapper un filet de sperme, montrant qu’elle n’a pas tout avalé… Une gifle s’abat de nouveau, la faisant tomber sur le côté. Le garde qui la tient toujours, les bras croisés derrière elle, se met rapidement en appuie, genou sur son dos, afin de l’empêcher de se relever pendant que l’autre garde relève dans un grand geste le bas de sa robe. Libérant ainsi la croupe de l’effrontée, il commence par la fesser à pleine main, lui arrachant des cris difficiles à cerner entre douleurs ou plaisirs (ou les deux ?)... Lorsque ses fesses sont bien rougies, il entame une exploration de son intimité de toute sa main et, à sa plus grande surprise, se rend compte que celle-ci mouille abondamment. De la cyprine ...
... coule en effet sur ses cuisses… - Regarde donc comme elle mouille, cette petite catin ! Dit-il en montrant à son compère ses doigts dégoulinant de cyprine. C’est qu’elle a l’air d’aimer ça, la salope ! Sur ces mots, il l’empoigne par les hanches, la forçant à relever sa croupe et lui plante sans aucun préambule sa queue de nouveau durcit dans son intimité entièrement lubrifié. Il la lui laboure sauvagement, bestialement avec une telle ferveur, une telle fougue qu’elle ne peut plus contenir ses cris de douleur mêlés au plaisir qu’elle a tant de mal à contenir et cacher. L’autre garde, existé par cette scène, en veut pour son compte aussi. Ainsi, il libère sa verge tendue et c’est à tour de rôle que chacun des deux rustres gardes-forestiers pénètrent la jeune femme tandis que l’autre va se faire sucer pour pouvoir jouir de toute sa force dans sa bouche. La jeune femme ne peut plus cacher son excitation et laisse échapper des cris d’orgasmes puissants à maintes reprises. En réalité, elle a rarement autant joui si intensément et de si nombreuses fois… Une fois les deux hommes vidés, la nuit est presque tombée. Epuisée et souillée, mais elle se rend compte intérieurement qu’elle est contente ce qui la rend honteuse, elle se laisse alors ramasser par les deux gardes qui la conduisent jusqu’au Château. - Nous allons maintenant te mener à Monsieur le Marquis d’Evans, peut-être daignera-t-il t’aider mais Lui seul décidera … comment… Et ils éclatent de rire. Arrivés au Château, menant ...