Première fois
Datte: 20/04/2019,
Catégories:
2couples,
ecriv_c,
... quelques secondes puis, comme dans un rêve, je vois ma main se saisir du flacon. Un regard à Béatrice, son regard à tourné à l’orage, elle hausse les épaules et nous tourne le dos. B. : Là, je le hais carrément, je suis furieuse et si seule… Emile, dépêche-toi… Je sais qu’Olivier ne va plus s’occuper de moi, et d’ailleurs il n’a pas intérêt à m’approcher pour le moment, j’ai envie de mordre et, en même temps, je sens cette complicité qui nous lie tout de même, si bien que je m’adoucis un peu et tente d’imaginer la réaction d’Emile… Je me demande où nous allons comme cela…. O. : Cette situation est irréaliste. Je suis en train d’enduire d’huile le corps de Katy. Je commence par les jambes, doucement, la taille, les bras … Elle me regarde, visiblement amusée de la situation. Je suis sur le point de m’arrêter mais, de la tête, elle me fait signe que non et du regard me montre ses seins ! Je regarde Béatrice, elle nous tourne le dos. Tant pis, la tentation est trop grande. Je commence à enduire sa poitrine. Mais nous savons l’un comme l’autre que ce n’est qu’un prétexte et je sens ses seins durcir au contact de mes mains. C’est à ce moment qu’Emile réapparaît. Il nous regarde, prend l’air amusé puis va s’allonger sur la chaise longue face à Béatrice. Je ne sais plus que penser, Katy, elle, semble beaucoup s’amuser de la situation. B. : Enfin, Emile revient… Il s’installe juste en face de moi, je lui souris, et en le regardant dans les yeux lui demande de me passer de l’huile ...
... solaire… Comme Olivier l’a fait avec Katy. Olivier me regarde ; tiens, il n’a pas l’air ravi ! Mais moi, j’adore, j’adore le regard d’Emile, les mains d’Emile qui prennent tout leur temps pour me caresser la taille, les seins… Sournoisement, je remarque que je ne le laisse pas indifférent et c’est ce moment que je choisis pour m’emparer du flacon d’huile et lui proposer de lui rendre le même service et de lui passer moi-même de l’huile sur le corps ! Il s’asseoit au bout de ma chaise-longue, et moi je passe les jambes de chaque côté de son dos, mes cuisses enserrant les siennes, je me serre un peu contre lui et, doucement, je commence par les épaules ; instinctivement, je pose rapidement mes lèvres sur son cou (ciel ! ! ! je perds la tête) ; Olivier n’a heureusement pas vu ce geste furtif mais, moi, j’ai senti Emile frémir… Et c’était délicieux, ses mains s’appesantissent sur mes cuisses, je commence vraiment à brûler…stop, au secours, où allons-nous comme cela ! Calmons-nous un peu, Emile regagne son transat, je ne le quitte pas des yeux et me plais à imaginer la suite, je n’ai plus envie d’arrêter, je regarde Olivier qui a un sourire un peu crispé, j’en profite pour m’étirer de bien-être et Olivier, qui me connaît bien, sait ce que cela signifie ; je lui souris et ferme les yeux, mais juste assez pour me permettre d’observer le regard d’Emile qui se croit libre de me regarder comme il en a envie… S’il savait comme son regard me brûle et dans quel état je suis… Mais, chut ! O. : ...