1. Première rencontre avec Sandra


    Datte: 20/04/2019, Catégories: fh, inconnu, telnet, Oral préservati, pénétratio,

    ... et de chaussures à talons assorties. Je la rejoins, lui fais la bise. — Salut Sandra.— Salut Romain.— Ça a l’air sympa ici.— Oui, il y a pas mal de bars agréables dans le quartier. Tu verras, à Paris, il y a toujours moyen de faire la fête. Le seul problème, c’est le portefeuille.— Effectivement, les consos sont plus chères qu’à Toulouse. À ce propos, je vais commander. Que veux-tu boire ?— Je vais prendre un verre de Gewurztraminer, s’il te plaît.— Très bon choix, je te suis ! Après avoir passé commande, nous entamons une conversation banale, probablement pour dissimuler le léger malaise qui nous saisit à l’idée de rencontrer un (ou une) inconnu, abordé sur internet. Nos premiers échanges me permettent d’en apprendre un peu plus sur mon interlocutrice : diplômée d’un master en Lettres modernes, titulaire du CAPES, elle prépare l’agrég tout en retouchant les pages de son premier roman, non encore édité. De mon côté, je raconte ma vie provinciale, mon arrivée récente à Paris pour mettre à profit mon master en Management culturel au sein d’un musée municipal. Ce faisant, je prends le temps d’observer la jeune femme, dont le charme naturel est magnifié par sa tenue. Sa robe seyante souligne des courbes sensuelles, ses épaules sont nues à l’exception d’une fine lanière de tissu nouée sur la nuque qui empêche le vêtement de tomber. Son visage est entouré d’une chevelure brune soignée, et de grands yeux verts brillent lorsque Sandra parle de ses passions. L’image de la jeune ...
    ... fille, associée à mon verre de vendanges tardives diffusent en moi une douceur capiteuse… Une heure plus tard, une fois de plus, c’est elle qui prend les choses en mains. Buvant cul sec le fond de son verre, elle me déclare tout de go : — Bon, on ne va pas jouer la comédie trop longtemps, on est là tous les deux pour la même chose. On aura bien le temps de parler littérature plus tard ! Tu m’emmènes chez toi ? J’en reste abasourdi. Tentant de garder contenance malgré le rouge qui me monte aux joues, j’acquiesce à son indécente proposition. Nous quittons donc le bar, et prenons la direction de chez moi. Nous cheminons ainsi dans Paris, impatients de ce que la nuit nous réserve. Profitant d’une ruelle plus sombre et moins passante, j’attire ma compagne d’un soir sous un porche pour goûter une première fois sa bouche. Mes mains partent à la découverte de son dos, de son ventre ferme. Elle me rend mes baisers, appuie ses caresses mais, sentant mon excitation monter, nous remet bientôt sur le droit chemin de mon studio. Arrivés au bas de l’immeuble, enfin, j’ouvre la porte à Sandra qui s’engouffre dans les escaliers. Je la suis donc, les yeux rivés sur ses longues jambes dorées par le soleil estival, sa croupe qui ondule à chaque marche, ses épaules dénudées. Je commence à être sérieusement émoustillé. Arrivés au troisième, j’attrape Sandra par la main, la plaque contre la porte d’entrée. Je sens ses tétons qui pointent à travers le léger tissu de sa robe, libres de tout soutien-gorge. ...
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