1. la sujètion d'une ménagère


    Datte: 20/04/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... que les malheureuses gouttes de pré sperme qui suintaient de mon méat. Elle secouait a tête lorsque j'agrippais ses cheveux et la forçant à regarder fixement la photo de son époux. - "REGARDE LE .....! " - "Si tu veux en finir et rentrer chez toi tu ferais mieux de m'obéir petite chienne!......" Elle se clama lentement, cessa de se débattre et riva ses yeux sur la photo de son mari, de grosses larmes ruisselaient sur ses joues alors que je me trouvais bien logé entre ses fesses. Je fis une pause la regardant droit dans les yeux lui souriant : - "T'as vendu la virginité de ton trou du cul pour une bonne cause ma petite Maria, maintenant que ton mari m'en excuse, mais je vais pouvoir jouir en toi!......" Je poussais de toutes mes forces, enfouissant ma bite sèche dans on oeillet, je lui distendais douloureusement les muqueuses anales en l'enculant à sec, je voulais lui faire suffisamment mal pour qu'elle n'oublie ce jour. Après quelques allées et venus dans son fondement, elle cessa de crier, restant étendue passive les yeux vides rivés à la photo de son mari. Je la labourais puissamment lui distendant les muqueuses jusqu'au point de rupture, se rappelant mes consignes, elle commença des excuses : - "Je suis désolée monsieur Kasey ... Si désolée de ne pas vous avoir offert de vous servir de ma porte dérobée plus tôt!...... Je suis désolée pour tout ce temps perdu à sortir votre pite de mon ventre pour vous vider les couilles sur mon ventre, parce que je me ne me souciais pas ...
    ... suffisamment de vous donner du plaisir!......" Psalmodiant ses excuses encore et encore alors que je lui martelais sauvagement le fion m'enfonçant au plus profond de ses entrailles. Son discours m'emmenait tout droit à l'orgasme, je la martelaiss maintenant de toute ma vigueur, la pénétrant de tout ma longueur à chaque coup de boutoir, elle était mentalement et physiquement brisée, je l'utilisais comme un garage à bite, un réservoir à foutre; alors que ma bite se mettait à vibrer je lui ouvrais la rue culière de toues mes forces gagnant encore 2 à 3 cm de pénétration, je me mis à grogner elle sut alors que j'étais sur le point de jouir, elle hurla : - "NOOOOOOONNNNNNnnnnnnnnnnnn ...... PAS DANS MON ANUS!....... LAISSEZ MOI UN PEU DE DIGNITE!......" ses plaintes lui arrachaient des larmes de honte alors que je projetais de longs jets de foutre crémeux au fin fond de ses entrailles, grognant et mugissant comme une bête. Mon éjaculation tarie, je me retirais de son fion, elle se lova dans le lit sanglotant, le regard vide. - "Attention madame Faletti, d'ici un quart d'heure votre mari sera chez vous et cela vous prendra bien 10 minutes pour parcourir le trajet de retour ...... Vous feriez bien de vous manier le cul!..... " Pleurant toute les larmes de son corps, souffrant mille maux, brisée, humiliée, le trou du cul en sang, elle se releva sortit une tenue propre de son sac et l'enfila prestement. Je lui fis signer son dossier que je contresignais lui promettant que l'argent ...
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