1. La fille du tourniquet.


    Datte: 20/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... angélique, sa poitrine généreuse, dont on devine très bien les formes à travers son haut, ses jambes fines bronzées et douces, dévoilées par sa mini-jupe bien au-dessus des genoux et enveloppant un petit cul aux formes divines. Pendant plusieurs jours, je faisais exprès de passer devant son bureau et elle s’arrangeait pour en sortir pour venir me dire bonjour. Petits croisements dans le couloir, petits sourires coquins, regards malicieux. Au fur et à mesure de nos brèves rencontres, elle semblait moins troublée et jouait à un petit jeu de séduction qui n’était pas pour me déplaire. Un jour en me croisant elle me mit carrément la main aux fesses et je lui rendis l’appareil dans la journée. Mais ce jeu commençait à me chauffer vraiment et j’avais envie d’elle. Un vendredi après-midi, je décidais d’y aller franchement. Ayant moins de monde souvent le vendredi, les gens prennent des RTTs. Le couloir ou l’on se croisait souvent était en trois parties. Une partie d’environ 10 mètres avec des bureaux sur le côté droit, puis un virage à gauche à 90° pour une partie de 5 mètres environ, avec sur le mur de gauche une porte donnant sur un placard à fourniture, enfin après un virage à droite à 90° la dernière partie assez longue, avec des bureaux à droite également, allait jusqu’à la sortie. C’est dans la partie de 5 mètres que l’on tomba nez à nez. Elle avait bouclé ses longs cheveux bruns aujourd’hui. Ils descendaient jusqu’à ses seins maintenus dans un petit haut très échancré qui ne ...
    ... cachait pas grand-chose du haut de sa poitrine. Toujours en mini-jupe comme à son habitude, avec des talons. Elle me sourit, j’en fis de même. Mais contrairement à d’habitude ou l’on se croise, cette fois je la pris par le bras fermement et la plaqua contre le mur près de la porte du placard. Elle se laissa faire, mais inquiète : - Et si on nous surprenait, en regardant à droite à gauche peur d’être vu par les quelques personnes restante dans les bureaux. - T’inquiète pas, il y a presque plus personne. Dis-je en remontant ma main sous son haut et l’embrassant dans le cou, la goutant sous de petits gémissements. - Humm, non pas ici, on pourrait nous… Puis un bruit de porte retentit. Elle me repoussa, ajusta son haut. Pendant ce temps j’ouvris la porte du placard et la poussa à l’intérieur, puis referma la porte juste à temps avant d’être surpris par une personne passant dans le couloir. Je la tenais par les hanches contre la porte. - On a eu chaud. - Tu es fou on aurait pu nous voir. - Je pouvais plus attendre, j’ai envie de toi. - Moi aussi. Mon genou s’immisça entre ses cuisses remontant jusqu’à sa culotte, dont je sentais l’humidité et la chaleur à travers mon jean. - On dirait que cette aventure dans le couloir t’as fait de l’effet en tout cas. - Peut-être que je mouille juste quand je te croise dans le couloir. - Humm peut être en effet, en tout cas ça m’excite. Puis nous somme parti dans un baiser fougueux, nos langues se sont mêlées, se sont sucées mutuellement. Ma main ...