L'été de mes 18 ans 20
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Les vibrations se répercutaient dans ma vulve où elle continuait de me pénétrer de plus en plus vite. Je hurlai et jouis comme une folle. Après une pause, elle ôta sa ceinture et me dit : « Tu veux en essayer un? Va le choisir, alors! » J'allai à la commode et me décidai pour un gode ceinture qui ressemblait à s'y méprendre à un vrai pénis. Je le mis en place. D'elle-même, Joséphine se mit à quatre pattes et me tendis sa croupe rebondie. De ses deux mains, elle écarta ses fesses, me présentant très impudiquement toute sa vallée. « Quel trou préfères-tu? », lui demandai-je, indécise. « Les deux! », me répondit-elle d'une voix rauque. Je pris le phallus en latex entre mes doigts et le positionnai à l'entrée de sa vulve, puis je poussai un grand coup. Elle gémit. Je me mis à aller et venir rapidement, la faisant crier de plus en plus. En même temps mon pouce se mit à jouer avec sa rosette, puis je le fis entrer, lui arrachant un grognement de satisfaction. « Prends-moi dans les fesses! » m'intima-t-elle. Je lui obéis. Tandis que je besognai son anus, je vis qu'elle se caressait le minou de sa main. Je sentis ses fesses se tendre de plus en plus puis elle jouit en criant. Nous étions toutes deux épuisées par le plaisir et je la quittais en promettant de lui faire signe. J'en avais très envie car elle m'avait confié avant de partir qu'elle aimant beaucoup les rencontres à plusieurs et j'avais très envie de dévergonder Marianne. Dès le lendemain, j'appelai cette dernière en lui ...
... disant que j'avais une surprise pour elle. Je lui demandai de laisser sa porte ouverte le soir même, de mettre un bandeau sur ses yeux et de m'attendre, assise sur son canapé, seulement vêtue d'une nuisette. Joséphine et moi, nous arrivâmes chez Marianne vers 20h. A l'interphone, je lui demandai si elle était prête. La porte n'était pas verrouillée. J'entrai la première. Marianne attendait sagement sur le canapé. Comme je lui avais demandé, elle portait une nuisette très légère et quasi transparente et un bandeau sur les yeux. Je l'embrassai fougueusement en caressant sa fabuleuse poitrine très vite dressée. Puis, je l'abandonnai un instant en prétextant un besoin urgent et je fis entrer Joséphine. Celle-ci fut tout de suite séduite par Marianne, sa poitrine et sa tenue. Je fis glisser les bretelles de la nuisette et ce fut Joséphine qui se mit à agacer ses seins de la langue, avant de téter longuement les pointes. Marianne se mit à soupirer de plus en plus bruyamment. Puis je la fis lever et se mettre à genoux sur le canapé, nous tournant le dos. Je relevai sa nuisette, caressai ses fesses en les écartant légèrement. Joséphine regardait, conquise par ce qu'elle voyait. Je lui laissai la place et elle se pencha pour embrasser goulûment les fesses de Marianne avant de laisser sa langue errer dans son sillon, titiller son bouton et sa rosette. J'en profitais pour me dévêtir, puis je m'attaquai aux vêtements de Joséphine qui se retrouva bientôt nue également. Je me plaçai derrière ...