1. L'entrepôt


    Datte: 22/04/2019, Catégories: fh, inconnu, pénétratio, fsodo,

    ... repousser vers le bas. Carole eut honte, s’en voulant soudain d’avoir choisi cette jupe dont la taille avait été reprise pour s’ajuster à sa silhouette. Elle savait par expérience qu’il n’était pas possible de la faire glisser sur ses hanches, il lui fallait la passer et l’enlever par-dessus sa tête, au prix de contorsions complexes. Toute honte bue, elle réalisa qu’elle allait devoir l’aider. Elle lâcha son sac et attrapa le bas de sa jupe, la retournant vers sa taille. L’homme ne comprit pas ce qu’elle voulait faire, et il était trop impatient. Il la poussa contre l’un des côtés du rayon. Elle avait encore sa jupe dans ses mains, et ses jambes étaient nues. Son menton vint au contact du métal froid d’une étagère, et elle lâcha sa jupe pour l’agripper. Ralentissant un instant son action, il passa ses mains sur ses fesses, le contact à travers le tissu du slip provoquant un frisson violent, à l’échelle de sa tension et de son désir. Puis, d’un geste sec, il baissa son slip sur ses hanches. Elle avait les jambes légèrement écartées et le slip tendu à se rompre juste sous ses fesses, vaguement consciente de l’indécence absolue de sa posture, mais par-dessus tout impatiente, brûlante de désir. Il glissa ses doigts entre ses jambes et remonta. Elle était heureuse de ne pas lui faire face, de ne pas avoir à admettre qu’elle laissait cet inconnu lui faire ceci, alors qu’il constatait à quel point elle était prête pour lui. Lorsqu’il se dégagea puis remonta pour atteindre son ...
    ... clitoris, elle se frotta et enferma les doigts de l’homme entre ses cuisses, ondulant autour d’eux. Fermant les yeux, elle eut un instant la vision du spectacle qu’elle devait lui offrir, ses hanches ondulantes, son souffle de plus en plus court révélant la montée de son plaisir égoïste, avant qu’elle oublie tout, se concentrant sur ses sensations. Elle sentit monter le déferlement de l’orgasme, il arriva, trop vite, lui arrachant un gémissement étouffé. Ses jambes tremblaient, et sans force elle se laissa glisser, à genoux, passant sa tête sous l’étagère. Son torse reposait maintenant sur des gros sacs de nourriture pour chien, à l’odeur écœurante, qui garnissaient l’étagère inférieure. Elle l’entendit déboucler sa ceinture, un bruit de fermeture, le froissement de la toile. Il s’agenouilla derrière elle. Il la pénétra d’un coup, atteignant le fond, lui arrachant un jappement de plaisir. Il la martela, ses coups de boutoir la poussant de plus en plus en avant. Elle était maintenant complètement à plat ventre sur les sacs, chaque poussée faisant frotter sa poitrine sur le papier épais et rêche. C’était divin… — Tu aimes te faire baiser comme une chienne… lui souffla-t-il dans l’oreille. Carole ne répondit pas, à nouveau toute entière consacrée à ses sens, son corps frémissant sous les poussées — Je vais t’enculer… lui dit-il. Il se retira, Carole se raidit, sentit le gland cherchant l’ouverture, chercha à se détendre. Elle le sentit peser, commencer à se frayer son chemin, lui ...
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