1. Quand on tire le diable par la queue (2)


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... direction de sa fourche. Fourche qui ressemble de plus en plus aux fourches caudines, où le bon pasteur met en veilleuse sa rigidité morale au profit de sa rigidité sexuelle. – Viens maintenant, je crois que c’est près pour la dégustation, mais j’aimerai bien aussi avoir ton oiseau, même si il est tout petit, c’est pas plus mal. J’aurai moins mal aux mâchoires. Les deux s’installent dans un 69 tranquille en se léchant le sexe avec application et Rita, à force de subtilités, arrive à faire grossir le haricot de Richard. Haricot qui grossit, grossit, grossit pour ressembler de plus en plus à une belle banane. – Tu vois, à force de patience et peut-être de l’inédit, on arrive à un certain résultat. – C’est vrai que quand je fouille avec ma langue ta forêt odorante, cela m’excite comme un fou. – Je crois que je vais venir, mets moi deux doigts dans la crousille, Oui comme cela, hum c’est bon, encore mets en trois ou quatre, c’est encore meilleure. Je viens dit-elle en arrosant le visage du pasteur d’un jet de cyprine qu’il s’empresse de boire avec avidité. – Hum c’est bon, j’aime ce goût de vinaigrette que tu produits. Je ne l’avais jamais essayé avec Martine, il faudra que je compare. – Oui, mais toi, tu n’es pas encore venu, pourtant, je sens que tu es encore bien excité. – C’est très bon, mais je n’oublie pas que j’étais venu te chercher pour le repas de midi et là, on risque bien de les faire attendre. On peut pour un petit retard dire que tu n’étais pas prête, mais ...
    ... seulement pour un petit retard. – C’est vrai et peut-être que plus tard dans l’après midi .... – Oui, pourquoi pas, comme dimanche passé ! Les voila qui prennent le chemin de la cure, ils expliquent tant bien que mal la raison du retard et Martine en embrassant son mari a tout de suite compris à l’odeur dégagée par la barbe de son homme qu’il avait eu les mêmes approches cachées qu’elle et qu’il avait trempé son nez dans le puits du plaisir de Rita. – Je vois chéri que tu as déjà goûté un peu de soupe chez Rita, tu étais comme cela affamé ? – Non, c’est pas ça ! – Alors tu as fait comme moi, tu as voulu essayer quelque chose hors de la maison ! Je reconnais l’odeur de la mouille accrochée dans ta barbe. Moi au moins je me suis lavée les dents. – Oui, je le confesse que je n’ai pas pu résister à la vue de sa culotte avec les touffes noires qui dépassaient, j’ai eu envie de les déguster et elle a réussi à réveiller mon pistil, mais n’a pas récolté de pollen. – Hé bien moi pareille, J’ai voulu aussi déguster une saucisse de Francfort baignant dans son jus. Pas mal. – C’était aussi très bon pour ma part, je regrette qu’on ait été bloqué par les moeurs si longtemps et ne pas avoir pratiqué plus tôt cette liberté ! – Cela n’en sera que meilleur. Après un bon repas, vient la sieste où nos quatre compères se retrouvent à poil sur le lit nuptial du couple pastoral. – Chéri, j’aimerai bien aussi déguster la moule de Rita pour connaître à chaud le goût, j’ai remarqué que quand cela sort juste ...
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