Quand on tire le diable par la queue (2)
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... bonne nuit. – Bonne nuit, j’espère que l’on recommencera. – Je pense que le pasteur, ayant goûté aux plaisirs poivrés du sexe ne va plus s’en passer. C’est un sybarite cet homme là. On va passer encore de bien belles soirées, il faudra aussi que je goûte avec la langue ce couple bien particulier. Cela m’a manqué un peu. Quatre jours plus tard, Jean reçoit sa nomination comme bedeau (pas comme Jean-Luc), ce qui risque de poser un problème avec son travail et il demande le lendemain, vendredi un rendez-vous avec son patron. – Bonjour Monsieur, j’ai un petit problème d’horaire et j’aimerai bien en discuter avec vous avant d’avancer plus dans cette direction. – Bonjour, j’ai vu que tu t’es intégré dimanche passé dans notre communauté. – Justement, c’est à ce sujet, Monsieur le Pasteur, m’a demandé de remplacer le bedeau actuel qui a atteint la limite d’âge, ce qui va me représenter un surcharge de travail impossible à assumer à long terme. J’aimerai travailler à 70% pour bien remplir ma tâche. – Merci de m’en faire part, comme tu es un excellent élément, j’accepte et comme je suis membre du conseil synodal, l’usine te garde ton salaire plein et même j’envisage si tout se passe bien de te nommer chef de production, prochainement, quand le titulaire actuel arrivera à la retraite. Je vais l’affranchir pour qu’il te prépare à ta future charge. – Merci beaucoup, comme cela, je pourrai bien me consacrer à ma tâche. En rentrant le soir, il fait part à sa mère de la bonne nouvelle ...
... qui correspond en fait à une augmentation substantielle de salaire. Comme quoi, un coup de queue bien placée, des fois ça paie. Le dimanche, à nouveau après le sermon, Jean est invité pour dîner à la cure, mais cette fois, la mère a été oubliée. Ce qui le rend triste, mais il n’ose pas le dire. Cependant le pasteur, fin psychologue remarque que son entrain et bonne humeur n’est pas au rendez-vous. – Zut dit-il, nous avons oublié d’inviter ta mère, quand je t’invite, comprends le comme un invitation pour les deux, toujours le dimanche après le sermon, pour déstresser c’est bon et comme cela on termine la semaine en beauté. Je vais vite la chercher avec la voiture. – Merci, vous êtes vraiment trop bon. Pendant ce temps là, Martine et Jean commencent à se chauffer, en se roulant des pelles, pas à neige, en se caressant. Finalement, Martine : – J’aimerai bien quand mon mari n’est pas là, te sucer la queue, je ne l’ai jamais fait, juste un petit bisou la dernière fois, mais j’aimerai connaître la complète et je ne suis pas sûr qu’il apprécierait. Il faudrait amener ceci doucement pour pas le braquer. – Bonne idée, répond Jean en sortant son outil, d’un pantalon qui avait encore l’odeur de l’encens. – C’est drôle ce mélange d’odeurs religieuses et de sexe, c’est vraiment pas désagréable dit Martine en saisissant la queue et en la mettant dans sa bouche. Elle s’applique et fait les corrections nécessaires que lui dit Jean pour que ce soit une bonne pipe et pas une pipe dont on doit ...