Une semaine de chien Partie 1/7
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... sentis son regard caresser mon corps de bas en haut et le rouge me monta légèrement aux joues. "Déshabille-toi, ordonna t'il soudain." Je le fixais, incrédule alors qu'il ne semblait pas vouloir me laisser pénétrer dans la maison. Je compris brusquement et mon regard se dirigea dans la rue, des passants se pressaient au loin, il leur était certes impossible de voir mon visage à cette distance mais la vue d'une personne se dénudant ne leur échapperait aucunement. Me voyant hésiter, l'homme eu un air déçu et commença à fermer la porte. Mon sang ne fit qu'un tour et je soulevait mon t-shirt, l'arrachant presque en l'enlevant. La porte se rouvrit entièrement et le morceau de tissu termina dans les mains de mon nouveau propriétaire. J'ouvris fébrilement mon jean, mes doigts tremblaient alors que les boutons cédaient uns à uns. Je le descendit au bas de mes jambes, ôtant par la m^me occasion mes chaussettes. Je restais quelques secondes en caleçon au beau milieu de la rue, des milliers de regards semblaient être fixés sur moi, provenant de toutes parts. Avec une sentiment de honte et d'excitation, je me saisis de ma dernière protection et le fis glisser, lentement, très lentement, prenant plaisir à sentir le vent frais agresser les parties les plus intimes de mon anatomie. Mes jambes cédèrent tout à coup, je me retrouvai à genoux, puis à quatre pattes, le trottoir me faisait mal mais la douleur n'était rien comparé au bonheur d'être complètement soumis à mon maître. Ce dernier me ...
... fit finalement signe de rentrer et je m’exécutais et adoptant une démarche chaloupée, mes hanches se trémoussant au rythme de mes pas, mon dos cambré mettant en valeur mes fesses rebondies. Ses yeux et ses doigts me caressèrent dans les moindre recoins, appréciant ma peau dénuée de poils. Comme pour valider mon apparence, il enserra un épais collier en cuir autour de mon cou, m'étranglant à moitié. Le contact rugueux du cuir contre ma peau me brûlait mais je n'avais jamais rien porté d'aussi agréable. Un petit serre tête représentant des oreilles cenines suivirent puisun gel froid recouvrit ma rondelle. Instinctivement, je relevais le postérieur et fut pénétré par un long et épais plug. La queue qui constituait la partie visible était lourde et faisait se mouvoir en moi le jouet à chacun de mes pas, rendant ainsi mes déplacements agréablement difficiles. Un clic métallique retenti, une pression se fit sur le collier et mon maître tira sur la laisse pour me forcer à avancer. Je me délectais de ce nouvel environnement, intrigué par ce qui allait suivre, j’obéissais au doigt et à l’œil aux moindres à coups de la lanière de cuir. Je fus ainsi promené dans l'ensemble de la maison et je pouvais déjà m'imaginer servir me propriétaire de mille et unes façons. Nous nous arrêtâmes finalement devant la cage en fer, un lourd cadenas était prêt à en bloquer l'entrée. "Assis !" Je me mis à genoux, regardant avec un désir incontrôlé le visage dur et autoritaire qui me surplombait. "Donne la ...