1. Jeune amant


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    Je fis de mon collègue mon amant. J'en fus la première étonnée. Ce jeune homme qui put être mon gamin ne m'inspira guère le premier jour. Je le trouvais puant et vaniteux. Triste témoignage de cette nouvelle génération. Celle-ci n'a aucun égard pour les vieilles générations. Au-delà de trente ans on est nécessairement un ringard. Je n'avais aucune prédilection pour les jeunes hommes. Le concept couguar trop peu pour moi. Je préférais taper au titre de mes amants plutôt dans le quinqua. Soit un peu plus âgé que moi. Je les trouvais mâles et cochons.Là-dedans mon mari n'existait pas. De toute façon je subodorais qu'il faisait de même. Les petites secrétaires devaient défiler en son bureau. Nous ronflions l'un contre l'autre sans plus partager la bagatelle. Cependant d'un tacite accord nous tenions à sauver les apparences et à respecter l'autre. Mon mari se doutait que nombre de mes collègues m'avaient sauté. Je demandais à ceux-ci de se garder de regards ou allusions équivoques quand il venait à me chercher et monter dans mon bureau. Il y eût un jour une chaude alerte dont me dépêtra mon jeune collègue.Il fit montre ce jour-là d'un beau sang froid et d'esprit à propos. Il savait mes mœurs. Il savait au moment où mon mari vint à s'encadrer dans la porte que j'étais dans le bureau à côté à me faire bourrer par le chef comptable. Il inventa aussitôt que j'étais en une réunion à l'étage et que celle-ci s'était inconsidérément prolongée. Il se proposait d’aller voir et de faire ...
    ... passer le message pour que je le rejoigne aussitôt. Il n'en proposa pas moins au mari de partager un café à une machine située dans une aile opposée. Ainsi eût-il le temps par SMS d'envoyer une collègue me prévenir.Il fit si bien parlant de foot avec monsieur que j'eus une bonne demi-heure pour me faire toilette et me remaquiller. J'affectais que les présentations me fussent épargnées car mon mari en effet découvrait pour la première fois mon nouveau collègue. Il ne tarit pas d'éloge à son égard. Il le trouva, vif, mature et ce qui ne gâche rien amateur de football. L'aspect petit con avait du lui échapper. Quoiqu'il en soit je devais reconnaissance à ce gosse. Je le lui témoignais dès le lendemain. Il sourit alléguant que j'aurais fait même chose à sa place.Sa répartie d'humour gagna à me faire rougir. Nous n'avions jamais évoqué ensemble mes turpitudes et amants. Il en avait constaté le ballet quotidien. Avec un certain mépris je l’avais laissé à l'écart du trafic manifeste. C'était peut-être une façon de lui signifier qu'il n’était pour moi qu'un morveux boutonneux. Je goûtais peu en effet la façon dont il lorgnait mes cuisses quand celles-ci étaient croisées. Assurément il m'eût voulu dans son pieu. Je goûtais peu son genre d'hommage. Je n'en savais pas moins qu'il avait couché avec une de mes amies. Il affectionnait la vraie femme.Pour le remercier nous déjeunâmes deux jours après. Pour me moquer et marquer la distance, je lui demandais incidemment s'il avait une petite amie ...
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