Un père enchanté sous chantage (1)
Datte: 23/04/2019,
Catégories:
Divers,
... donnant corps et âme, comme il l’avait fait, c’est encore tout frais. Il cherche à récupérer. Isabelle sait qu’il lui a tout donné. Elle glisse sur ce corps, mordille cet oreille dans laquelle elle dépose cet aveu que Chris craignait d’entendre, ces lettres qui, misent ensemble, bout à bout, déclarent la flamme qui brûle dans son cœur. À quelque kilomètre de là, un père sembla entendre cet aveu amoureux. Il avait sursauté sur son fauteuil, dans son bureau. Lui qui voyait d’un mauvais œil ce garçon qui, le jour des vingt ans de son trésor, croisé son bras avec sa fille adoptive et trinqué à l’amitié, une amitié officialisée ce jour anniversaire mais qui perdurait déjà depuis que Chris avait vu Isabelle pénétrer dans la cour de l’école. Ce père se met soudainement à se poser mille questions pendant qu’un couple s’aime avec passion au-dessus du seul bistrot de cette petite bourgade perdue sur une carte, un petit point ridicule. Dans cette chambre, Chris retourne Isabelle, croise chacun de ses doigts avec ceux de sa belle, étire ces mêmes doigts loin au-dessus de la tête d’Isabelle, emprisonnant ce corps par son poids. Son pénis caresse doucement les nymphes de sa belle, sans aucune érection, il ne pourrait pas. Sa belle qui s’abandonne encore davantage, se soumettant à ces caresses ...
... qu’elle décrit, dans sa tête, comme divines. Chris sent ce corps onduler sous lui, il insiste, mordillant ce petit nez retroussé, ces lèvres si fines, si belle. Sa bouche qui, sadique, embrasse, s’échappe de l’autre, laissant sa belle devoir tendre son cou pour tenter d’avoir un baiser. Puis, cette bouche qui s’ouvre, laissant sortir un long soupir de béatitude. Chris est heureux de la voir jouir. Loin de là, un père fait les cent pas, bientôt 24 heures qu’il n’a vu sa fille, n’a pas de nouvelle. S’il pouvait deviner que sa fille vit, depuis ce même temps, des moments merveilleux, remplit de plaisirs, d’extase, de bonheur dans les bras de celui que son père jugeait pourtant comme le plus courtois et poli des jeunes hommes invités aux vingt ans de son trésor d’Isabelle. Ce père qui finit par se verser un double de plus de 30 ans âge et le déguste sur sa chaise de bureau. Dans un appartement du centre de cette petite bourgade, un jeune homme lave sa belle comme s’il avait, entre ses mains, la plus précieuse des porcelaines de Chine. Il se fait si doux que sa belle fond encore. Couchée sur lui, elle le bécote tendrement, donnant de doux coups de langue à ce visage dont elle apprécie les contours. Chris ne cesse de laver ce postérieur, passant et repassant entre ses fesses, appuyant sur