1. Un soir d'été coquin


    Datte: 23/04/2019, Catégories: fh, couple, amour, Oral

    Préambule : Carole et moi nous sommes rencontrés sur le net. Une rencontre virtuelle improbable. Des échanges épistolaires, mêlés de respect et de vouvoiements. Une rencontre réelle enfin. Un véritable coup de foudre. La distance rend nos visites trop rares et intenses. Les échanges épistolaires continuent, jusqu’à basculer lentement vers un désir charnel à assouvir. Ce que nous faisons à distance et à quatre mains par des récits érotiques. Carole : Nous sommes en promenade au centre-ville. Le temps est grand beau, de fait, je suis légèrement vêtue d’une petite robe rouge au tissu doux au toucher, de chaussures à talons. Main dans la main, nous nous arrêtons parfois pour nous témoigner notre amour en mélangeant nos langues dans nos cavités buccales. Le contact chaud et humide de nos bouches fait monter l’excitation de l’un, de l’autre. Je suis parcourue de multiples frissons jusqu’au bout de mes mamelons… L’eau fondue descend jusqu’à la naissance de mes fesses pour se perdre dans le sillon de celles-ci. Nous sommes dans un état d’excitation tel, que tu me proposes de quitter la terrasse après que je sois passée aux toilettes pour te remettre ma culotte tâchée de cyprine. Je m’exécute, je suis nue sous ma robe, le sexe mouillé, mes lèvres gonflées de désir. Je tiens au creux de ma main serrée, l’objet de notre fantasme et te le tends, nos regards sont complices. Tu me fais signe pour que nous nous échangions un ultime baiser avant de quitter la terrasse. Je suis plaquée ...
    ... contre le mur, cuisses légèrement écartées, tu y glisses une main, remontes le long de l’intérieur de mes cuisses. Arrivé sur mon abricot gonflé de désir, tu écartes mes grandes lèvres et masses avec douceur mes petites lèvres gorgées de mon jus. Les passants se promènent, nous entendons les bruits de rue, la nuit prend place peu à peu. Je m’attarde à frôler une main sur ton sexe qui durcit, mes doigts font descendre ta braguette, pour avoir accès à ton intimité. Nos baisers sont fougueux, nos respirations s’accélèrent. La nuit est maintenant tombée, nous sommes à nous toucher avec le bruit des passants en fond sonore. La chaleur de tes bourses me réchauffe la main droite pendant que l’autre caresse ta nuque. Je sens un filet de mouille qui se dépose sur tes doigts, ma vulve qui gonfle encore. Ta verge durcit peu à peu, je me mets à la masturber délicatement en la tenant par la base, laissant les bourses à la gravitation. Nos filets de salive se mélangent dans un rythme cadencé par nos touchers de plus en plus osés. À travers le contact de mon sein, tu sens mon rythme cardiaque battre à vive allure. Mon antre t’offre le meilleur de mon jus qui se dépose sur tes doigts habiles. Je te fais de petits baisers sur ton cou, te regarde profondément et me positionne accroupie devant toi. À cet instant, je suis ta petite cochonne au milieu de la nuit, au milieu de la ville. Ta verge glisse doucement dans ma bouche chaude et humide. Ma langue joue autour de ton gland aux saveurs d’été chaud ...
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