1. Punition du 2 juin 2016


    Datte: 23/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Quand après le dîner, pendant que je balaie la cuisine, la Maîtresse m’annonce que les petites salopes désobéissantes sont toujours sanctionnées sévèrement, elle fait allusion aux fautes commises ce matin dans la discipline mise en place pour mon éducation. Je suis donc convoquée au salon, un peu honteuse d’avoir à demander pardon.Mais, ma surprise est grande quand je vois ma Maîtresse prête à sortir, m’indiquant avec sa cravache, une tenue minimaliste à enfiler. Je suis ensuite menottée, harnachée avec mon collier de chienne et conduite jusqu'à la voiture. Après 1 heure de route, le véhicule s’arrête sur un parking à l’orée d’un petit parc entretenu. Les allées sont propres, les haies bien taillées, on devine malgré la tombée de la nuit, un endroit de promenade « référencé ».Toujours dirigée par ma Maîtresse, nous croisons quelques badauds, des hommes seuls en survêtement qui, du coin de l’œil, remarquent notre équipage. Je ne fais pas la maligne car c’est toujours humiliant d’être baladée, perchée sur des talons trop hauts, indécente dans mon uniforme transparent de catin sexy mais surtout, tenue en laisse….De plus, ils remarquent tous la cravache que ma Maîtresse tient toujours à la main !Quand notre promenade s’arrête enfin, je suis attachée sur un poteau qui indique d’une façon claire que ce petit bois est surement un lieu de débauche malgré les panneaux d’interdiction. Les nuits doivent être chaudes et vénales, ici !Sans aucune considération pour ma pudeur, ma ...
    ... Maîtresse retrousse la petite robe qui couvre à peine mes formes de petite salope, afin d’exposer mes fesses, (sans culotte, car c’est interdit par son règlement !).Et la punition débute... Comme le stipule le cérémonial, je dois compter les coups à voix haute.A 50, alors que je commence à sentir mes fesses s’enflammer démesurément, j’espère une pause indiquant que le supplice est terminé ; malheureusement pas ! 10, 20, 30 coups de cravache supplémentaires cinglent encore et colorient en rouge vif mes fesses dénudées, malgré mes supplications et mes sanglots.- « Je te laisse « méditer » sur ta conduite, petite salope ! »C’est avec ces mots que ma Maîtresse me quitte, enchaînée au poteau de torture, toute nue ou presque, livrée aux regards goguenards des voyeurs. Ah oui… j’avais un peu oublié les « promeneurs » ! Ce sont eux qui fréquentent et cautionnent cet endroit et c’est aussi à cause ou grâce à eux, que la municipalité a posé cette signalisation…A peine abandonnée, j’entends des pas qui se rapprochent puis des formes qui se dessinent dans l’obscurité chien et loup de la soirée. J’entends d’abord, quelques insultes vulgaires et au début à peine audibles….Puis, confiants dans la possibilité de m’abuser et tellement lâches de ne pouvoir faire cela qu’en bande organisée, quelques hommes s’approchent dangereusement !Enfin, maintenant je les vois, je n’ai jamais croisé leurs regards quand la Maîtresse me promenait ! Mais ils sont là !Devant moi, ou plutôt derrière moi ! Les mots crus ...
«123»