1. Je vais vous dresser (1)


    Datte: 24/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Aujourd’hui, c’est le premier jour du reste de ma vie. Hier ma copine m’a plaqué. Afin mon ex-copine. Elle a dit je cite : « Tu es insensible, prétentieux, paranoïaque et de surcroît, égocentrique. » Voilà. J’ai eu toute la nuit pour réfléchir et en fin de compte, je n’en ai rien à foutre. Qu’elle aille au diable avec ses belles formes, sa voluptueuse poitrine et ses fesses de « goddess suédoise ». Malgré tout ça, je ne ressentais pour ainsi dire rien au lit. C’était une coincée du cul. Ce matin je suis allé me payer un café dans un café-restau de mon quartier. Lorsque je me suis assis pour commencer à déguster, une femme s’est assise juste en face de moi. C’est une femme d’une quarantaine d’année (ou plus), très agréable à regarder à tous les niveaux. Son corps est très bien entretenu, les seins prisonniers d’une robe noire qui marient finement toutes les formes de son corps. Rouge à lèvres, décoté outrageant ; Elle est tout simplement délicieuse avec son petit sac à main. - Salut. Je reste bouche bée, je n’arrive pas à croire que c’est à moi qu’elle s’adresse. Je reprends vite contenance et fait mine désinvolte : - Ouais Salut ! - Je crois vous avoir déjà vu ici, z’etes un habitué ? Je la fixe longuement, apparemment je suis une identité remarquable. On continu et elle me fait comprendre qu’elle se prénomme Alice, 43 ans Docteur en pharmacie (pharmacienne), vit dans le quartier voisin avec son mari (Marc – professeur des lycées) et leur fille (Arielle - Etudiante) de ...
    ... dix-neuf ans. Je me sens obligé de me confier aussi : Jean, 27 ans je suis ingénieur en informatique mobile. -Ah c’est bien, fait-elle, ma fille étudie justement l’administration des réseaux informatiques. J’ai donc logiquement pensé à cette instant qu’elle voulait ma maquer avec sa fille. Mais elle a ajouté : - C’est une véritable peste en ce moment, elle découche, me méprise et… bref Une vrai peste. - Parlez-en à votre mari. Rétorquais-je. - Je l’ai fait mais cet enfoiré n’a pas de couilles. Il regarde sans rien dire ni rien faire. Je commence à me dire à cet instant qu’elle est sûrement au bout du rouleau et qu’un bon prédateur n’en ferait qu’une bouchée. C’est alors qu’elle me demande : - Vous habitez loin ? - Non ! répondis-je interloqué ! J’habite au coin de la rue pourquoi ? - J’ai envie de vous baiser. Nos regards joutent ; J’essaie de déterminer si elle se paye ma tête, mais son regard ne laisse rien transparaître de tel, non ! Elle est plus que sérieuse. Me faire une femme de cette age , même dans le plus hot de mes rêves ça n’est pas arrivé. Je ne vais pas me faire prier. Je vous fais grâce de détails techniques ; une trentaine de minutes plus tard, nous sommes chez moi. trente minutes d’excitation. Je referme la porte derrière elle qui s’avance vers le canapé sur lequel elle dépose son sac à main. Elle se retourne et me lance un regard provocateur : Le signal. Je m’approche, j’hésite, elle prend l’initiative, elle m’embrasse. Je l’enlace avec mes bras. Notre baiser ...
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