1. La vie de Besson bascule


    Datte: 24/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... plus forts, il est profondément en elle maintenant, il va jouir, mais se lève et la retourne sans façon. Il met son doigt dans sa bouche retire la balle et elle le suce, ensuite, il le passe sur son petit orifice, l'introduit, lui branle le trou, puis le retire, plusieurs fois. Ses tétons sont hérissés, d'une main il les lui câline... Il se laisse envahir par son plaisir et par la vue de cette femme transformée en objet. Il bande et d’un coup de rein il jouit en elle. Besson n’a pu se retenir, l'orgasme est foudroyant. - Salope tu es incapable de te retenir. À quatre pattes entre les jambes d'Antoine elle le nettoie par de petits coups de langue, puis le lèche comme elle le ferait d’une gourmandise. Le spectacle est complet. Laissant la place, Antoine pousse Besson ainsi offerte vers le personnel du haras et dans cette position, étendue sur la table, les seins et les tétons arrogamment érigés en espoir d'être gobés par des lèvres convoiteuses, la vulve parfaitement fendue en attente d'une pénétration et de sperme, pas un ne résiste à la tentation, chacun vient consommer ce corps offert à leur convoitise, un amas d'hommes la prennent, la contraignent, elle est victime consentante, elle suce des sexes charnus, fins, enjôleurs, violents et sauvages. Elle se fait sodomiser, fister à la suite... Combien de sexes se sont déversés au fond de sa gorge, se sont branlés entre ses seins l'aspergeant de foutre ? Son corps est submergé par les hommes qui se repaissent, insatiables. Elle ...
    ... se redresse un peu pour prendre un pénis en érection dans la main. Elle lèche le gland, l'introduit dans sa bouche, le suce goulûment, vorace, elle le pince du bout des lèvres, elle sent qu'il aime cela le bougre, elle l'entend gémir. - avale la sauce salope… dit-il Elle ne faillie pas à sa réputation de bonne pipeuse douée pour les fellations... elle exulte et s'offre, pleure toutes les larmes de son corps éclaboussé de sperme, ses cuisses ruissellent. Jamais elle n'a ressenti à ce point la sensation d'être ouverte. Elle voudrait que cela ne s'arrête jamais. Le départ Après plusieurs heures débridées, les trois hommes sonnent l'heure du départ. di Miranda appelle sa garde rapprochée, deux Albanais, Alkan, Fadil et Grete, une femme estonienne. - Elle est prête... Allez y, occupez-vous d'elle. Vous la chargez et en route pour le pays, dit Zúñiga di Miranda, je vais prévenir Doña Aimara, - Bien monsieur, Fadil saisissant l'un des anneaux de sein de Besson lui glisse à l'oreille, - t'as encore 2 bites à sucer et une belle moule à satisfaire, t'as intérêt à te goinfrer si tu ne veux pas morfler, vu ? - oui… et vlan, elle se reçoit une belle baffe… - Oui monsieur ! Salope ! - Oui monsieur… - Bon… à nous… partons, en route, on va lui gaver la gueule à cette putain de chienne… Nue, Besson ne dit rien, comme vidée. Fadil, l'homme qui s'empare d'elle, est massif, puissant lui couvre la tête d'un sac et la pousse sans ménagement dans une camionnette. Tout en sachant l'inutilité de la ...
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