Une passion torride confirmée
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
amour,
pénétratio,
amourcach,
... elle enchaîne aussitôt : — En fait, je crois bien que je suis tombée amoureuse de vous (elle me vouvoie encore !) depuis quelques semaines. Je ne voulais pas me l’avouer et je me disais que ça allait passer, que je ne vous intéressais pas. Mais depuis votre séparation, c’est devenu insoutenable. J’ai bien vu que vous me regardiez différemment. Ce qui s’est passé vendredi est important pour moi et je ne peux pas revenir en arrière. Aussi, j’ai besoin de savoir si vous tenez à moi. Si vous ne voulez pas de moi, eh bien, je quitterai l’entreprise. Voilà. Elle s’arrête de parler, ose à peine me regarder dans l’attente de ma réaction. Elle paraît à la fois fragile et décidée. Eh bien moi, je suis scotché ! Non seulement, la femme de mes fantasmes ne me rejette pas, mais en plus elle m’avoue son amour. Et moi qui ne voyais rien ! Je bafouille : — Euh, écoute Sandra, euh… je devrais être désolé pour ton couple, mais en fait, je suis surpris et je me sens surtout hyper flatté. Je veux dire, je suis nettement plus vieux que toi (onze ans, tout de même) et je n’osais pas imaginer que je pouvais t’intéresser. Je ne sais pas quoi te dire. Je t’ai toujours trouvée belle et intelligente, mais c’est vrai que j’éprouve une vraie attirance depuis quelque temps. Je me tais alors et porte un nouveau regard, admiratif devant sa beauté naturelle, mais aussi face à cette posture de femme qui assume et affronte, alors que moi… Elle est belle, ses cheveux bruns, presque noirs, mi-longs sont ramenés ...
... en queue de cheval. Elle porte une jupe beige qui s’arrête juste au-dessus des genoux et un débardeur noir à fines bretelles sous un simple gilet bleu marine. Je m’approche lentement, lui prends les mains. Nous nous tenons debout tous les deux devant mon bureau. Maladroitement, je caresse ses mains, ses avant-bras, en remontant jusqu’aux épaules, par-dessus son gilet. J’essaie de me retenir pour profiter pleinement de ce moment, mais c’est elle qui m’enlace et plaque ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse passionnément, nos langues s’entremêlent. Pour moi, c’est le bonheur total ! J’ai l’impression d’être le gamin qui emballe la plus belle fille du lycée ! Mais on est un peu plus âgés et on assume. Mes mains parcourent ses épaules, son dos, sa taille (fine, elle pratique la gymnastique). Je pourrais l’embrasser comme cela pendant des heures. Je stoppe les baisers, avec regret, fais un demi-pas en arrière et la contemple. Je ne rêve pas. Sandra me sourit, visiblement heureuse et soulagée. Dire qu’elle avait des doutes sur mon intérêt pour elle. Je reviens vers elle, on se regarde dans le blanc des yeux. Le désir est puissant. On s’embrasse à nouveau passionnément. Je caresse ses épaules, repousse son gilet. Je m’attends à ce qu’elle m’arrête, mais au contraire, elle dégage ses épaules, laisse tomber son gilet. Ma main droite caresse son épaule gauche. Je descends, passe délicatement sur son sein, remonte. Je répète le mouvement plusieurs fois et finis par insister sur son ...