1. Une nuit calme


    Datte: 24/04/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, Oral pénétratio, attache, québec, amourcach,

    ... peux voir en partie ses formes alléchantes, j’admire ce corps que je découvre, D’un air grave, elle me regarde directement dans les yeux en refermant son chemisier. Face à son attitude, je ne sais que dire, quoi penser. — Pas de commentaire sur ce que je t’ai montré, dit-elle.— Belle et désirable, je réponds un peu gêné.— Nous avons à parler tous les deux. D’un pas décidé, elle va s’asseoir dans l’auto tout en faisant signe de la suivre. Je me demande comment cette histoire va se terminer, je m’assois derrière le volant. Sans attendre, elle se lance. — Nous avons toujours été francs et sans gêne sur n’importe quel sujet. Je te connais très bien et je sais que jamais tu n’auras de geste ou parole laissant croire à un intérêt sexuel envers moi car tu es trop respectueux de ta partenaire.— C’est vrai, je réponds— Maintenant, je veux savoir si tu as déjà fantasmé sur ma petite personne.— Après ce que je viens de voir, ça va être pire.— Moi aussi, j’ai des fantasme avec toi et cette nuit c’est l’occasion qui ne s’est jamais présentée jusqu’à maintenant. Trop surpris, je reste silencieux. Avec son aplomb que je lui connais bien, elle m’indique, voire ordonne, de trouver un endroit discret car elle a aussi comme fantasme d’inclure le véhicule de patrouille. Je n’arrive pas à croire ce qui m’arrive, je réfléchis pour trouver un endroit sûr, il ne faut surtout pas se faire prendre. J’ai trouvé, c’est juste à côté. En moins de deux minutes nous y sommes. Le portail refermé et ...
    ... verrouillé, je me dirige derrière un édifice et coupe le moteur. Un peu surprise, elle lance : — Eh bien, discrétion et tranquillité assurée en plein milieu du cimetière. Je lui réponds que j’ai obtenu cette clé à une époque où il y avait eu du vandalisme dans le cimetière et que je suis heureux d’avoir conservé cette clé. Afin de couper court à toute hésitation, je l’attrape à l’arrière du cou et l’attire vers moi pour un baiser. Il est violent, les dents s’entrechoquent, les langues s’emmêlent dans un tourbillon digne d’un ouragan. Elle aussi m’a saisi par la nuque et ne semble pas vouloir se laisser conquérir facilement. Chacun tient la tête de l’autre à deux mains et ce baiser ressemble plus à un combat où chacun veut montrer à l’autre qui sera le meneur du jeu. Après de longues minutes, je la repousse doucement, la regarde dans les yeux, je lui demande de me laisser le plaisir de découvrir son corps, j’en rêve depuis si longtemps. Avec un grand sourire, elle s’adosse à la banquette marquant ainsi son consentement. D’une main presque tremblante, tellement je suis ému, je caresse du bout des doigts sa figure, mes doigts suivent un sourcil, descendent sur le nez, caressent les lèvres, passent le long de la mâchoire, touchent le cou et se perdent dans ses cheveux. Je suis des yeux chaque geste pour incruster en mémoire chaque détail. Je redescends sur son cou, un soupir s’échappe de ses lèvres. J’arrive à l’épaule, repousse le chemiser, sans briser le contact avec sa peau, en suivant ...
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