1. Une nuit calme


    Datte: 24/04/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, Oral pénétratio, attache, québec, amourcach,

    ... gémit plus fort, empoigne ma tête à deux mains, pousse son pubis vers l’avant. Elle frémit, je sens sa jouissance se répandre sur mon doigt. Je retire celui-ci. Des deux mains, j’ouvre entièrement sa chatte. Je suce ce petit bout de chair raidi, de mes lèvres je la masturbe littéralement. Un orgasme plus fort arrive, elle pousse un cri. Vif comme l’éclair, avant que le cri s’achève, je la pénètre d’un coup, m’enfonçant en entier. Un autre cri, elle me traite de salop. D’un long et lent mouvement, je vais et viens en elle. Je caresse ses seins aux pointes érigée. Je maintiens cette douce cadence depuis quelques minutes, je ressens ses muscles vaginaux qu’elle active de temps à autre. Je l’observe, elle est belle ainsi abandonnée à son plaisir. C’est le moment que je préfère, un sourcil qui monte, un rictus au coin des lèvres, les lèvres qui s’arrondissent, un soupir, le menton qui se relève, encore un petit sourire. Je passe à la vitesse supérieure, un « oui » s’échappe de ses lèvres. Elle participe activement, son bassin vient à la rencontre du mien. Nous sommes lancés dans une folle chevauchée. L’éruption est proche, je sens la lave monter. Je me plante en elle, aussi profond que possible. Au même moment, elle plante ses talons dans mes fesses, j’éjecte tout ce que j’ai en un long jet. Elle jouit aussi, elle me tire sur sa poitrine, me retient ainsi en serrant fort. Après un moment, elle brise le silence : — Marc, tu m’as fait un bébé. Je relève brusquement la tête, elle ...
    ... se met à rire en me traitant d’idiot puis m’attire à elle pour un long baiser. J’interprète cette dernière phrase comme étant son appréciation de nos ébats. Je réalise que l’aurore est là, il est plus que temps de donner signe de vie au poste. À regret, je lui annonce qu’il faut partir. Je l’aide à descendre du capot et caresse doucement une fesse rougie. Elle me sourit et va chercher des serviettes de papier que nous gardons toujours dans le coffre à gants. Pendant ce temps, je ramasse mes vêtements et commence à m’habiller. Je remarque qu’elle ne s’habille pas mais reste là à m’observer perdue dans ses pensées. Je m’approche d’elle, dépose un baiser sur son front et exprime mes propres pensées. — Écoute Catherine, ensemble nous avons vécu beaucoup d’expériences émotives, celle-ci est très spéciale et merveilleuse. Nous devons discuter de notre avenir. Si cela peut te rassurer, sache que je ferai tout afin de te garder comme partenaire. Ne reste pas nue à me tenter. Retrouvant son aplomb habituel elle réplique en me pointant du doigt. — Tu ne m’auras pas comme ça, je te connais trop bien, tu te trahis toi-même, ce n’est pas que ma nudité qui te fait bander. Si c’était le cas, tu serais en train de me tripoter. Je ne te cache pas que j’ai de la difficulté à mettre de l’ordre dans mes idées et je pense que c’est pareil pour toi. Oui, il faut que l’on discute et je veux le faire dès aujourd’hui. Je réfléchis un moment et lui fais part de ma décision : — Je prends congé, il faut ...
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