1. La mère de ma copine Elodie (1)


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Hétéro

    Salut c’est votre folle de lycra. Voilà peu je venais de trouver un poste d’opticien dans une grande enseigne. J’étais fraîchement diplômé et je n’ai pas eu trop de mal à m’insérer dans l’équipe. En fait j’avais à faire aux clients, ils venaient choisir la monture et nous leur préparions les verres adaptés à la monture et nous nous arrangions à tout régler avec la sécu et la mutuelle surtout. Je venais d’avoir 20 ans et je me suis retrouvé avec une cliente d’environ 45 ans qui était une grande beauté et surtout d’une grande assurance. J’ai eu l’impression que chaque fois qu’elle passait avec moi, elle prenait plaisir à me faire perdre la face. Un coup elle me demandait si sa poitrine me plaisait tant je la regardais, une autre fois elle me demandait si les dessous qu’elle venait d’acheter me plaisaient, une autre fois elle me disait qu’elle adorait les petits jeunes innocents comme moi. À mes yeux cette femme était une cougar et j’étais une cible potentielle d’après moi. Elle connaissait mon petit nom et prenais grand plaisir à me tutoyer avec mon prénom. Cette femme me plaisait tant que quand ma copine n’était pas là, je me faisais un petit plaisir en pensant à elle. Un samedi soir elle a même poussé le luxe jusqu’à me dire qu’elle était sûre que j’allais me palucher en pensant à elle ce weekend. Elle me disait toutes ces choses-là tout bas; de telle façon à ce que personne n’entende, juste elle et moi. Au bout d’un certain temps dès que je la voyais arriver en magasin je ...
    ... me retrouvais avec une érection que j’essayais de dissimuler en restant assis. La coquine était prête à passer son tour pour être sûre de passer avec moi. Du coup quand j’étais avec ma copine et que j’avais vu ma cliente quelques instants auparavant j’étais toujours émoustillé. Si ma copine avait su que c’était une cliente qui me mettait dans cet état-là. J’étais fou de ma copine, cela faisait plusieurs années que nous nous connaissions; nous avions fait une partie du collège ainsi que le lycée et ne nous étions pas perdus de vue pendant nos études supérieures. Ma copine Élodie s’était retrouvée dans le commercial elle s’en sortait pas mal pour l’instant. Avec le recul je me disais que son boulot allait être plus rémunérateur que le mien, mais personnellement j’adorerais m’occuper de mes patients. Je préférais les appeler mes passions plutôt que mes clients car dans le terme client il y a toujours une notion de business, chose qui m’embête pour un dispositif médical. J’avais réussi à me trouver un petit studio juste à côté de mon boulot dans une ville pas vraiment bien cotée mais je n’avais pas de transport à prendre. Un jour madame Leclerc le nom de famille de ma cliente qui me faisait tourner la tête m’a dit, alors que nous étions ensemble au comptoir, qu’elle aimerait bien me dévergonder. Une fois de plus elle venait de me faire perdre la face mais surtout elle venait de franchir une étape supplémentaire. Je suis devenu tout rouge et je ne savais pas trop quoi lui répondre ...
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