1. Dépossession - 1


    Datte: 25/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... est donc entré dans ma chambre, peut-être sans le vouloir, et s’est retrouvé nez-à-nez avec mon pantalon posé à l’autre bout de la pièce et ma main serré autour de ma hampe. Aucun doute possible : il m’avait vu en pleine action, l’écran de mon PC ne pouvait que confirmer. J’étais justement en train de défiler les photos HD d’un blog d’illustrations homosexuelles… Il resta quelques millisecondes légèrement pétrifié, puis après avoir jeté un coup d’œil sur mon écran puis sur mon entrejambe que je cachais comme je pouvais : j’étais nu comme vers ! Quelle honte, j’étais pétrifié. Mon dieu, ça deviendrait mon pire souvenir de toute ma vie. C’est alors que tout a basculé : je l’ai vu esquisser un léger sourire. Il referma la porte, avec lui à l’intérieur, et j’ai écarquillé les yeux : je pris alors conscience de la situation, me précipitant vers mon pantalon. Ce mec n’était pas du genre à être ouvert d’esprit aux sexualités alternatives ; je le savais changer de copine plus souvent que de caleçon (littéralement), et ces dernières trouvaient manifestement toujours une manière très imagée d’exprimer la violence qui caractérisait leurs ébats. Ce mec devait probablement casser la gueule à des gays dans la rue, c’est clair. - Heu, désolé, je bredouillais. - Non ! Me chuchota-t-il avec violence. Faisant mine de n’avoir rien entendu, je commençais à enfiler mon pantalon. Mais une fois la porte refermée à double tour et les clés soigneusement rangées dans sa poche, mon voisin se ...
    ... précipita sur moi, me poussant légèrement contre mon bureau, me prenant le bras fermement. Je prenais toute la mesure de notre différence de gabarits. J’étais fin, les bras extrêmement maigres, lui était légèrement plus petit que moi, mais bien plus épais. Il devait s’occuper en faisant du rugby. Toujours est-il que sa main faisait largement le tour de mon bras, qu’il bloquait totalement. J’étais mal. J’allais me faire péter la gueule et je ne pouvais espérer que m’en tirer sans dents cassées. - J’ai raté mon coup cette nuit putain. Je n’ai pas réussi à baiser, fais chier, articula-t-il d’un ton monolithique. - Ha merde, désolé pour toi me-mec, je bredouillais. Ça marchera peutete-peut-peut-être – pardon –, ça marchera peut-être mieux demain ? Je sentais son haleine alcoolisée, c’était une violence supplémentaire. Il n’était pas vraiment dans son état normal. J’étais nu, je ne débandais pas. Bordel, c’était fini pour moi, je vais terminer aux urgences, défiguré, c’est sûr. - Tu vas me sucer, là, maintenant. - ATTENDS, DE QUOI ? Il me saisissait encore le bras, alors j’ai tenté de me dégager avec mon autre main. Il renforça son étreinte, et utilisa son autre main pour me saisir mon deuxième bras. Sous le choc je n’avais pas réagi avec rapidité. J’étais totalement bloqué. - Nan, sérieux, tu vas me sucer, et en silence. J’étais complétement vaincu. Ce mec faisait probablement deux fois mon poids en muscle, en plus d’avoir une demi-tête de plus que moi. Probablement un futur champion de ...