1. Mon flic (4)


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... veux, je peux vous assurer que je viendrais souvent vous voir, j’espère que vous m’accueillerez. –Bien sûr, tu es notre professeur, mais tu ne veux pas en profiter ? –Dans un moment, il faut qu’il récupère un peu le pauvre. Nous nous installons à côté de Virginie, moi à droite, elle à gauche et serrant nos transats. J’appelle Flic qui vient tout de suite. J’ai les jambes grandes ouvertes et je suis sûr que l’odeur qui se dégage de mon sexe va l’inciter à prendre des initiatives. Il n’hésite pas une seconde et plonge sa tête entre mes cuisses. Sa langue s’active sur ma vulve allant du périnée au clitoris. Bien sûr, il ne faut que quelques minutes que je parte en vrille. –OOOOOOOOOHHHHHHHHH Je m’étonne moi-même de réagir en m’exprimant comme ça, il faut croire que c’est très fort. Je repousse Flic qui remarque les cuisses ouvertes de Virginie et va se consoler entres elles. Comme moi, Virginie explose dans un bel orgasme. Virginie le repousse à son tour et il va s’occuper d’Arielle, mais dès qu’elle a jouit, elle se lève et se met à quatre pattes. Flic a repris des forces, son sexe est complètement sorti, il saute sur elle et lui plante son sexe dans ...
    ... le vagin. Elle se libère et le guide dans le bon trou. Virginie se couche sous elle pour s’occuper de son clitoris, moi, je m’occupe de ses seins que j’adore. Flic la besogne longuement, elle jouit cinq fois de suite sous les assauts de Flic et nos caresses. Cette fille est une véritable machine à jouir, son corps est fait pour ça, et elle aime ça. Flic la verrouille avec sa boule, nous continuons nos caresses, et elle jouit encore deux fois. Quand il finit par la libérer, nous décidons d’aller prendre une douche toutes les trois. Nous sommes obligées de soutenir Arielle qui est dans un autre monde. L’après-midi se passe normalement, nous nous relaxons sur les transats sans oublier de nous faite un petit plaisir de temps en temps. Flic est entré dans le salon, il doit en avoir marre. En définitive, Arielle n’a jamais quitté la maison, elle s’est installée avec nous. Nous avons acheté un grand lit rond, c’était un peu serré à trois dans un cent soixante. Nous avons aménagé la plus grande chambre avec une douche à l’italienne dans un coin et une grande baignoire transparente sur une estrade au-dessus du lit, comme ça, nous sommes toujours ensembles. 
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