La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1268)
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... différente... Comme s'il avait réussi quelque chose, dont j'ignorais tout. Un petit "clic" se fit entendre quand il fixa le mousqueton d'une laisse à l'anneau principal à l'avant du collier. Il me souleva le menton de ses doigts afin de fixer encore son regard puis il me sourit de nouveau et j'eus l'impression de l'entendre me dire dans ma tête, son beau regard plongeant dans le mien : - Suis-moi, Ma belle chienne ! Une étrange sérénité m'envahit tandis que Monsieur le Marquis me tira ainsi à sa suite dans les couloirs du Château. Il me sembla déjà avoir vécu cette situation, comme si tout cela m'était familier. Bien évidemment, il était impossible que cette scène se soit déjà produite si ce n'est dans mes songes. Mais de manière singulière, j'avais l'impression d'avoir trouvé là, enfin, ma vraie place en ce monde. Bien que toute nue et quelque peu tremblante, je me sentais en totale confiance, sécurisée et dirigée en laisse par Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans, revenu des Limbes et à présent matérialisé fantastiquement redevenu un être vivant par je ne sais quel prodige mais il était bien là, à mes yeux devant moi tenant fièrement ma laisse. Et puis, il y avait cette terrible pulsion secrète entre mes jambes qui inondait mon sexe de cyprine. Cette excitation douce ...
... et chaude qui taquinait mon sexe. Et encore une fois, le fait d'être à présent une esclave nue et tirée en laisse dans les méandres de ce Château me semblait naturel, telle une évidente normalité. Une pensée me vint à l'esprit et mon imagination s'activa, offrant à mon regard l'illusion mentale d'autre soumis et soumises aussi nues que moi, occuper à différentes tâches de-ci, de-là. Astiquant et lavant les sols, nettoyant les fenêtres, transportant des choses, ou simplement attachés là, telles des statues vivantes. Malgré-moi une bouffé de honte me gagna et mes joues s'empourprèrent plus encore. Même si j'imaginais, qu'aucun d'eux n'osa même jeter un coup d'oeil sur moi. Toute leur attitude empreint d'obéissance, concentrée uniquement sur leurs tâches. Et puis j'imaginai Walter apparaître dirigeant deux esclaves en larme et entravés, leur corps marqué de zébrures bien rougies d'une récente correction. Surpris tous deux en train de se donner du plaisir sans permission et maintenant menés devant le Noble pour le jugement de leurs châtiments. Mais je n'eus guère le temps d’en imaginer d'avantage que Monsieur le Marquis me tira plus en avant, pour entrer dans la cuisine. Comme dans le salon, un petit feu flambait dans l'âtre géant réchauffant agréablement la pièce... (A suivre…)