1. Le Grand Bazar


    Datte: 22/08/2017, Catégories: grp, Collègues / Travail magasin, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, uro, fouetfesse, humour, contes,

    Cette fois, c’en était trop. Encore 50 euros qui avaient disparu de la caisse. Et bien sûr, personne pour se dénoncer, personne pour en informer la direction, personne pour essayer au moins de trouver une solution. Eh bien, c’était décidé, on installerait des caméras vidéo dans le magasin. C’était le Grand Bazar que dirigeait Monsieur Roland Justin et sa femme Louise. Il y avait trois vendeurs et deux vendeuses. Depuis des mois, les comptes n’étaient jamais justes, même quand le patron en personne tenait la caisse. Bien sûr, ce n’était pas des sommes folles qui manquaient, mais tous les jours un peu, cela finissait quand même par faire à la fin du mois une perte de plus de mille euros. Monsieur Justin avait le choix entre prévenir son personnel ou installer discrètement les caméras un dimanche. Il choisit la deuxième solution. Aussi le lundi avait-il le cœur qui battait, car il pensait bien démasquer le coupable. De son bureau, il pouvait suivre les déplacements de tout le monde, y compris dans la réserve. Ça ne coûtait pas plus cher de mettre des caméras un peu partout et il se disait que si un incendie prenait dans la réserve, il serait bien heureux de le découvrir aussitôt par ce moyen. C’est justement de cet endroit que vint sa première surprise. José, le magasinier, se trouvait avec Silvia, la vendeuse de l’électroménager, et il ne la ménageait pas ! Il la démontait carrément à grands coups de boutoir dans le boudoir. S’il s’attendait à cela ! Alors voilà à quoi ils ...
    ... passaient leur temps au lieu de faire l’inventaire. Il était quand même impressionné par le pénis de José, d’une taille bien au-dessus de la moyenne, en tout cas de sa moyenne à lui. Il était aussi contrarié. Dans la mesure où il avait caché son installation vidéo à tout le monde, il ne pouvait guère prétendre être au courant de ces pratiques. Il restait donc prostré devant cette Silvia couchée sur une machine à laver la vaisselle et le José qui la défonçait interminablement comme pour tester la robustesse du matériel. Cela lui sembla durer une éternité, compte tenu du temps qu’il mettait, lui, à honorer son épouse. Il ferma les yeux un instant et quand il les rouvrit, la petite était partie aux toilettes. José reprenait le travail. Jusqu’à midi, heure de la pause, rien de spécial. Puis voilà qu’à une heure, il eut la surprise de voir dans le magasin même, sous le comptoir, Brigitte et Antoine qui s’envoyaient également en l’air. Il se crut à la tête d’une maison de fous ou d’obsédés. Il fit fonctionner son zoom, ne serait-ce que pour voir s’il savait s’en servir. Et une nouvelle surprise l’attendait. Cette fois, c’était clair, il s’agissait d’une sodomie ! De mieux en mieux, se dit-il. Brigitte à qui l’on donnerait le Bon Dieu sans confession, qui rougissait à la moindre blague salace, se faisait prendre par le cul. Et elle accrochait ses ongles dans les nappes en tissu. C’était le bouquet ! Mais qui m’a foutu un personnel aussi pervers ! Ce n’est plus le Grand Bazar, c’est le ...
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