Harcelé et envouté par une gamine (2
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... maintenant, fais-moi l’amour ! - Patience ma belle, j’ai encore envie de me délecter de ton corps… Je remonte lentement vers son nombril puis vers ses seins. Je les pétris et prend les tétons en bouche. Ils durcissent et double de volume. Les nibards de cette gamine me rendent dingue. Je les mordille, les tête, les malaxe encore et encore. - Tu me fais mal, Ben… - Excuses-moi ma chérie, tu es si belle, tes seins sont si beaux… - Prends-moi vite, j’en peux plus, regarde, je mouille comme une folle. J’ai envie de la pénétrer maintenant. J’approche mon gourdin bandé à l’extrême de son con dégoulinant et je l’englouti, centimètre par centimètre. Inès se raidi un peu. Elle ne m’a pas menti, elle a juste été déflorée mais sa caverne d’amour reste très fermée. Ma hampe s’enfonce quand même dans son abricot bien mûr. Me voilà presque à fond. Un coup de rein et ça y est, ma queue est disparaît totalement dans la fente de ma jeune maîtresse. Inès geint doucement. Elle se cambre et projette son pubis contre le mien pour que je la pénètre encore plus profondément. Ma bite envahi entièrement son vagin. Je commence ...
... une série de va et viens dans son con. Elle crie sans retenu. Pourvu qu’on ne nous entende pas ! Encore quelques coups de boutoir et Inès pousse un grand râle de bonheur. Elle a un violent orgasme. Le premier certainement de sa vie de femme. Elle jouit plusieurs fois de suite. Chaque coup de bite au fond de son con lui arrache un cri rauque, elle s’abandonne totalement sans réserve. Sa chatte dégouline de sa cyprine. Je vais jouir moi aussi. Je devrais me retirer et lâcher ma purée sur son ventre ou sur sa petite gueule, mais non, je décharge au fond de son vagin, plusieurs longs jets de foutre épais et chaud. Nos sens apaisés, nous restons enlacés un moment. Inès me sourit : - Merci mon chéri, tu m’as donné tant de plaisir. Je suis heureuse. Aujourd’hui j’ai vraiment découvert l’amour. Maintenant je suis une vraie femme, j’ai joui comme une salope ! Il a bien fallu se rhabiller et retourner au village. On s’est quitté après un long et fougueux baiser. Demain, on se retrouvera au bord de notre lac, théâtre de nos ébats amoureux. J’ai tellement de chose à apprendre encore à ce petit bout de femme. A suivre…