1. Mika et Véro


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, fplusag, amour, Oral pénétratio, confession,

    Je m’appelle Véronique. J’ai 56 ans, et je suis à la retraite de cadre d’administration. J’ai eu deux enfants d’un premier mariage qui a mal tourné, un troisième d’un compagnonnage bien mal inspiré, et je suis veuve depuis 2 ans de mon dernier compagnon, mon grand amour avec qui j’ai passé ces 10 dernières années. J’ai beaucoup de mal à me remettre de son départ prématuré. Mon caractère naturel me porte à me laisser conduire par ma moitié. J’ai des difficultés à assumer le quotidien. Et ce quotidien, c’est l’entretien de ma (ex notre) grande maison, le vide sidéral que je perçois le soir car dans la journée je m’efforce de m’occuper à l’extérieur, le vide de câlins, d’échange de paroles et de caresses. Mais c’est aussi un problème d’intendance : j’ai du mal à joindre les deux bouts financièrement. J’ai donc pris, après mûres réflexions, la décision de louer une chambre (il y en a quatre dans la maison, avec trois salles de bain), ce qui me paierait les charges domestiques. Je reconnais que j’ai eu, me semble-t-il, beaucoup de chance car la première personne qui répondit à mon annonce me convint. Il s’appelle Mikael et vient d’ouvrir son cabinet de kinésithérapie pas très loin de chez moi. Il a 26 ans, physiquement agréable, et des manières polies et respectueuses. Calme et enjoué à la fois, je me suis laissé tenter de le choisir comme locataire. Le lendemain de son installation, il rentra vers 21 heures ; lui demandant s’il avait dîné, il me dit que son dernier rendez-vous ...
    ... étant un peu tard, il avait préféré manger une salade composée au snack près de son cabinet que de se mettre à faire de la cuisine. Cette histoire de cuisine me turlupinait un peu car je n’avais pas très envie qu’il touche à ma cuisine, à son rangement, et que nos provisions et nos plats de restes se mélangent. Aussi je lui proposai dès ce soir-là d’assurer ses repas du soir pour la modique somme de 5 euros. Il parut enchanté de ma proposition et l’accepta immédiatement. Nous dînons donc ensemble quand il rentre à une heure convenable, ou je lui laisse les plats au chaud pour qu’il puisse dîner quand il rentre après un rendez-vous tardif. Cette façon de procéder me satisfait d’autant plus qu’elle m’oblige à faire des courses, à cuisiner véritablement et non à grignoter ; et mon moral est, du fait de se sentir à la fois obligée de bouger et utile, bien meilleur. Partager un dîner est bien plus agréable que de se retrouver face à soi-même, même si on s’apprécie ! Cela m’oblige à une plus grande attention dans ma tenue vestimentaire et dans mon aspect physique. Le nécessaire à maquillage est ressorti du placard où je le délaissais depuis longtemps. Après trois jours, et surtout trois soirs et trois matins de petits déjeuners car dans la journée nous ne nous voyons pas, je lui proposai de nous appeler par nos prénoms, ou plutôt par nos diminutifs, Véro et Mika. Je l’appelais déjà Mikael vu son âge comparé au mien (il a l’âge de mon fils) mais lui me donnait du « Madame » et je ...
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