Histoire de rugbyman. Chapitre 2 : Souvenir d'un fils 6e partie "chez les masters"
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... soirées, je ne vous en parle pas. Enfin si, je vais vous raconter la pire, ce fameux vendredi. C'était notre première mise à disposition pour une partouze. La soirée s'est déroulé chez Fabien l'un des brutaux. Fabien est un coach de sport comme Marc, d'allure classique et intello, on le dirait gentil, mais c'est totalement faux. Il est grand 1m80 pour 75kg, très musclé, de partout, un cul d'enfer. Brun, les yeux verts, une belle gueule d'intello avec ses costumes et ses tenues strictes. Mais dans l'intimité, c'est un monstre, surtout niveau sexe, sachant que je ne parle pas seulement de son énorme bite de 23x8. Dans un premier temps, il voulait nous essayer personnellement, alors nous venu dans le coffre de sa voiture, on été vraiment à l'étroit. Nous avons revenu l'extérieur lorsque nous sommes entrée dans le garage de sa maison de village. Nous avons su plus tard que comme Marc, il a épousé une femme riche qui l'entretien. À la différence de ma mère, elle connaît tous des penchant de son mari. Pour commencer, Fabien nous ordonner de nous dénuder et a été d'une rare violence, en nous assenant plusieurs coups de fouet, qui nous arrachèrent des hurlements de souffrance pure, très loin du plaisir ressentis jusqu'à présent. Nos corps été marqués par les traces de fouet. Puis il se déshabilla totalement, nous crurent que le plaisir aller enfin arriver. Thibaud s'approcha de son sexe, mais Fabien lui assena violemment une claque qui lui remit les idées en place. Mon ami toujours ...
... aussi excité en avait cure. Le master avait le sourire du petit chef vainqueur. Fort de sa domination, il nous fit faire plusieurs gorges bien profondes. Puis le moment de la sodomie brutale sans préparation arriva. Pour clore l'affaire nous humes le droit chacun a un énorme godemiché dans le cul, ce qui nous fit hurler cette fois encore partagée entre plaisir et douleur. Ses godes avaient des aspérités comme des veines, que nous ressentîmes fortement lors de l'intronisation. Le pire dans tous ça, c'est qu’après « l’entraînement » presque une heure et demi, de torture, de fellation et d'enculage bestial, il n'avait pas joui une seule fois. Après l’entraînement, nous étions déjà à bout de forces. Mais lorsqu'il nous a enferma dans sa salle de torture, l’énergie disparue. J'avais envie de rentrer, la douleur avait était trop forte. Mais comme d'habitude, la curiosité, les ordres de Marc et les supplications de Thibaut, ont eut raison de ma volonté. L'attente dans ces moments particuliers est longue et excitante. Cela nous torturait, mais on faisait confiance à Marc pour nous protéger, nous n'avions pas idée que certains étaient encore pire que notre hôte. À l'arrivée de ses potes, ce fut encore pire. Après une interminable attente, il vient enfin nous chercher, pour nous conduire dans une grande salle ou 12 hommes d'âge murs étaient en train de boire et de se branler. Rapidement, je suis séparé de Thibaut, on me met un collier pour chien, on m'emmène vers un groupe d'hommes pour ...