Féminin pluriel (11)
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
Depuis des années, c’est une tradition, presque une institution, nous prenons nos vacances en septembre. Nous, c’est à dire Jackie, Cécile et moi. Pas question d’y renoncer. parce que les vacances, c’est au Cap qu’on les prend. Au soleil, chez les culs-nus, chez les fous-de-sexe! Cécile a été la pionnière, Jackie n’a fait que suivre sa Femme et moi, et bien j’ai suivi mes Vieilles Maîtresses… Les ami(e)s de nos ami(e)s étant nos ami(e)s, nous formons un groupe ma foi bien sympa et ouvert. Surtout très déluré(e)s. L’idée générale et partagée de tou(te)s est de passer un mois à s’éclater, en clair, à baiser… Cécile a depuis fort longtemps un couple d’amies chez qui nous logeons tous les ans, il est d’usage, le premier samedi et ensuite au gré de chacun(e), d’organiser un grand repas, suivi comme de bien entendu d’une orgie que Sardanapale n’aurait pas reniée. Amy, venue des Etats-Unis à Séte suivre un stage en cuisine y a rencontré Dominique et n’est jamais rentrée. Dominique est une femme, mais surtout un chef… pour qui ventre et bas-ventre ne font non pas un mais deux, inséparables. Chef elle l’est aussi pour organiser des soirées inoubliables! Inoubliables mais organisées. Car si le but est de se mélanger, hors de question de risquer un mauvais coup. Il y a donc deux salles, pièces ne suffirait pas pour les décrire car la maison est vaste. Une salle pour les couples, une salle pour les femmes. Le plaisir ne vaut que si il est partagé, mais pas galvaudé. Ainsi les choses ...
... sont claires et personne ne les a jamais remises en cause. Comme d’habitude, le repas a été très réussi et le café pris, une nonchalance nous a tous enveloppés. Nous sommes parties à cinq dans le gynécée, en robe légère, merci la fin de saison. Cécile a tapé dans l’œil d’une jeune femme, tout juste la trentaine, qui le lui montre en écartant des jambes bronzées et lui dévoilant son absence de culotte. En femme d’expérience elle fait durer le plaisir mais ne lui cache pas son intérêt en remontant sa robe d’été quand elle s’assoit auprès d’elle. Nous avons des tas de choses à nous raconter avec Amy depuis l’an passé et la femme qui est à nos côtés suit notre discussion en caressant sa jambe distraitement. Puis les caresses se font plus précises et Martine, c’est son prénom, trousse Amy qui manifestement apprécie et s’étend sur elle, son pied venant, comme c’est curieux, se perdre dans mon entre-jambe… Il règne un silence ponctué de petits souffles, le peton d’Amy me procure un grand plaisir, pendant qu’elle s’abandonne au baisers appuyés de Martine. Cécile a entrepris de faire plus ample connaissance avec le minet de Lise qui lui en est très reconnaissante et lui indique les endroits magiques, au cas où elle ne saurait pas. Martine, pensant qu’une chatte c’est bien, mais que deux c’est mieux, s’est mise en 69 et de ses mains explore mes jambes, des pieds au minou. Par je ne sais quel miracle elle découvre que mon étoile est accueillante et d’une pince formée par son pouce et ses ...