1. APRES LA COPINE, CE SERA AU TOUR DU COPAIN...


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Je dut remplacer au dernier moment un collègue au pied levé. Il avait prétendu devoir aller au chevet d’une tante souffrante. Mais je n’étais pas dupe. Il avait tout bonnement, envie de profiter en famille de la foire foraine établie depuis peu au parc des fêtes de notre ville. En prévision d’une longue permanence, j’avais amené avec moi de quoi me faire patienter des heures. Un peu avant midi, j’avais appelé Gille. Une connaissance d'affaire. J’avais passé pas mal d’heures chez lui à effectuer des rénovations. Et il était temps à présent pour lui, qu’il passe à la caisse. Nous avions convenu pour la transaction, un rendez-vous pour l’après-midi sur mon lieu de travail. J’étais dans la salle quand Gille fit son apparition. Comme il était très pressé, il s’est empressé de me donner ce qu’il me devait. Pour qu’il n’y est pas de différend entre nous, il a insisté pour que je les compte devant lui. Quatre mille deux cents francs, le compte y était. Alors que je fourrais la liasse en sécurité dans ma poche, je croisais le regard envieux d’un jeune homme assis dans un coin. Pendant que je l’accompagnais jusqu’à sa voiture, Gille m’exposa un nouveau chantier en prévision. Ne pouvant pas m’en dire plus, il me demanda de l’appeler au cours de la semaine suivante, pour plus de précisions. À mon retour je souriais tout seul, en pensant à la somme que j’avais en poche. Je croisais deux jeunes filles qui traînaient dans les coulisses. Sans aucun doute, elles crurent que le sourire leur ...
    ... était destiné. Elles me regardèrent, les yeux pétillants d’espoir. Puis elles s’échangèrent un clin d’œil complice et se mirent à pouffer, satisfaites de leur succès apparent. Quelques heures plus tard, on vint m’informer que la répétition était terminée. Je profitais de ce que les personnes quittent les lieux par petits groupes, pour ranger le matériel. Une fois seul, il était temps pour moi de verrouiller les issues. Je m’assurais par la même occasion que plus personne ne traîner dans les lieux. Ceci effectué, je m’intéressais à l’éclairage. D’un pas décidé, je m’avançais jusqu’à l’armoire électrique. Mais alors que je m’apprête à actionner les commutateurs, je perçus des murmures venant de la loge, la seule pièce avec les toilettes où je n’ai pas pris la peine d’aller faire un tour. J’ai tout de suite pensé à une étourdie. C’était fréquent chez nous. Je l’interpelai à haute voix, l’invitant de bien vouloir s’approcher de la sortie. Comme rien ne bouger je réitérais ma demande. Sans plus de succès, d'ailleurs. Ma patience ayant des limites, j’ai décidé d’aller rendre une petite visite à mon importun. Pour lui faire part de mon mécontentement, à ne pas répondre à mes assignations. Je parcourais la distance en moins de temps qu’il me fallait pour l‘écrire. Et là surprise, il n’y avait pas une, mais deux personnes. Une fille, un garçon, tout deux assis sur le bord de la table. Le garçon était Incliné sur la fille, les bouches jointes en un baiser vorace. Alors que la main du ...
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