1. La fille du patron (1)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Hétéro

    ... — Mon vieux, elle te dévore des yeux. — Qu’est-ce que tu racontes là, t’es bourré ou quoi. — Non, je te jure, tu as un ticket. — T’es vraiment un bourrin. Une heure ne s’est pas passé, que V revient à l’entrée et nous dit qu’elle va rester un peu avec nous pour voir comment nous travaillons. Si ça lui faire plaisir. Et la soirée se passe, nous faisons le taf et lorsque nous avons une accalmie, nous parlons tous les trois de choses et d’autres. La nuit se termine, comme chaque fois, même rituel, notre petit noir avant de rentrer à la maison. Je rentre à la maison, il est presque sept heures du matin, mon épouse est déjà levée et se prépare pour le boulot. Elle me demande si je sais conduire les enfants à l’école avant d’aller dormir, car elle a beaucoup de travail ce jour et rentrera tard. Pas de souci pour moi, je conduirais les mômes à l’école et ensuite au lit. Réveil en début d’après-midi, allez à la douche, il doit être 14 heures. Après la douche, un bon café et ensuite, je vais faire du repassage, j’ai besoin d’une chemise pour ce soir et elles sont toutes au panier à linge. A peine installé, que l’on sonne à la porte. J’ouvre et là V, avec un grand sourire. etgebbmz — Bonjour, je ne te dérange pas. — Non, mais comment se fait-il que tu sois là. — J’ai ton adresse au bureau et j’avais envie de te voir. Je suis bien embarrassé, la fille de mon patron est devant moi et j’ai l’air d’un con, je ne sais que faire. — Je peux entrer ? — Oui, oui, désolé je suis encore un peu ...
    ... fatigué de la nuit. — Je comprends. Nous nous rendons au salon, et elle prend place sur le canapé. — Tu veux boire quelque chose café. — Je veux bien un verre d’eau. Dans ma tête, tout se bouscule, L tu es en train de faire une connerie. Si ma femme arrive, que vais-je pouvoir expliquer. — Voici, ton verre d’eau, je le dépose sur la table. — Merci. Je m’assieds dans le fauteuil face à elle. Je remarque alors qu’elle porte une robe. C’est la première fois que je la vois en robe. Bon dieu, elle est vraiment sexy. La robe moule son corps, ses formes se dessinent ses seins, ses hanches. J’aurais dû la regarder de dos lorsqu’elle est entrée, car en jeans elle a un cul d’enfer mais en robe grrrrr. Allez reprend toi L, ce n’est pas le moment. — Puis-je savoir pourquoi cette visite, il y a un problème au boulot. Pas de réponse, juste ses yeux qui me transpercent. Je ne sais ce qu’il s’est passé dans ma tête, mais je glisse du fauteuil sur les genoux et m’avance vers elle à quatre pattes comme un fauve qui va bondir sur sa proie. Nous sommes enlacés, nos bouches se frôlent, nos langues se cherchent. Mes mains courent sur son corps. Je perds carrément le contrôle de la situation. Je caresse ses seins, les pointes sont dures comme des pierres. Elle n’a pas mis de soutien-gorge, juste le tissu de sa robe m’en sépare. Longue séance de baisers fougueux. — J’en avais envie L, cela fait des semaines que je pense à toi. — Tu es folle, nous ne devrions pas. — Oui, mais c’est trop dur de te voir ...