Femme BCBG, escorte, non, pute… (104)
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... en plus aigu, je progresse jusqu’à mon poignet. • Vas-tu tous entrer ? Je retire ma main de quelques centimètres, elle l’attrape avec ses deux mains et la propulse en elle. Je suis au fond de son vagin sans l’avoir voulu aussi vite. Ophélie commence à se tortiller de droite et de gauche, pas besoin de bouger, elle se masturbe elle-même sur le pieu qui la cloue sur son lit de plaisir. De plaisir, car dans le même moment, sa gorge exprime le bien qu’elle ressent. Elle cherche désespérément l’air qu’il lui manque. Elle continue à se trémousser sur le poing qui là rempli. Vais-je oser ouvrir ma main ? À chaque jour suffit son plaisir. Lorsque son souffle est retombé, je me retire délicatement. Je sors si lentement que lorsque tout est sorti, le petit bruit de succion est inaudible. • C’est si bon, remet moi là ! Avant que je n’aie le temps de comprendre, elle me saisit l’avant-bras et me plonge en un seul mouvement en elle. Elle pousse un grand râle et tourne de l’œil. Moi qui voulais la ménager, je suis plutôt surprise. Je reste immobile et j’attends qu’elle revienne à moi. Elle met plus de deux minutes, qui paressent une éternité avant que ses yeux s’ouvrent. • Que m’est-il arrivé ? • Ton plaisir a été si intense, que tu as tourné de l’œil ...
... quelques minutes. Un grand sourire de sa part. • Christine, où est passée ta main ? Appuyée sur les oreillers, elle a une vue plongeante sur son sexe. • Garde là, je te la prête quelques jours. Nous éclatons de rire ce qui fait bouger ma main. • Oh ! Je vais repartir, cela monte. • Tu veux que je te fasse ce que je n’ai osé te faire tout à l’heure. • Oui. Je commence doucement à ouvrir mes doigts, je sens la pointe de mon majeur pénétrer son utérus. Pour la première fois, mon pouce vient en contact avec la partie haute de son vagin et lorsque je l’ouvre, elle repart au pays des songes. Je ressors ma main et j’entends le bruit de succions si attendues lorsque je libère sa chatte. Je saute du lit et je vais chercher un linge dans la salle de bain. En passant, je regarde comment va Katia. Elle dort profondément. Les bruits que nous avons émis lors des plaisirs d’Ophélie ont été couverts par tous ce qu’elle a ingurgité comme cachets. Revenu auprès de ma nouvelle amie, je lui applique le froid salvateur. Tout revenu dans l’ordre, je l’embrasse et je m’habille. • Tu t’en vas, tu m’abandonnes. • Oui, mon cœur, je laisse Katia ici et je reviendrais vous chercher dans la matinée. • Ferme la porte avec la clef sur la porte, j’en ai une personnelle…