La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°729)
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... retire légèrement, j’ai juste le temps de reprendre mon souffle, une bouffée d’air que déjà je suis de nouveau assailli, pénétré, forcé. Le rythme s’installe par des vas et viens lents et réguliers. A chaque coup de pine, à chaque butée, j’étouffe, je souffle, je bave, je suffoque, je pleure. Et pourtant la cadence augmente… Ce chibre monstrueux lubrifié par ma salive sort et entre dans mon orifice buccal et écumant et il se heurte à ma glotte, le fond de mon palais. Je suis dans un piteux état, et portant force est de constater que je bande… je bande terriblement même, tant les ressentis humiliants m’excitent… Je me vois, à ma place, tel que je dois être, un vide-couilles, rien qu’un vidangeur de burnes… et à ce stade j’officie et joue mon rôle pleinement. Et malgré les nausées, j’avale, pompe et suce en même temps. Ma langue titille, agace, aguiche sinon tourmente cette bite turgescente, comme si maintenant je prenais le pouvoir sur elle. Monsieur Wenceslas râle, enrage même, commence à ne plus du tout maitriser cette fellation. Je le vois se crisper, les muscles de ses jambes et ses abdominaux se tendent et se contractent jusqu’au moment où accrocher à moi, ce pieu me cheville la gorge, gicle et déverse plusieurs rasades de semence épaisse et abondante. J’étouffe, m’étrangle alors que des applaudissements retentissent. Le Maître est là, près de moi, dans l’action je ne l’avais pas entendu venir et il vient d’assister à mon gavage… La Domina Juanita est avec lui et elle ...
... félicite le Maître de posséder un esclave tel que moi… Le repas est prêt à être servi. Les Dominantes et Dominants sont déjà installés autour de cette immense table ovale, lorsque le Maître et moi, sommes de retour. Quel spectacle ici, des soumises et soumis sont installés, tel un chemin de table, au centre de celle-ci. Certains sont couchés sur le dos, membres attachés et tenus à l’écart, d’autres en levrette, d’autres encore à quatre pattes, cul contre cul, avec un double gode enfoncé dans leur chair, tous affichant délibérément leur impudeur et indécence, avec un certain aplomb, arborant même fièrement leur soumission. Certains encore, sont en charge du service. Pour ma part, tête basse, le regard sur ma queue qui a bien du mal à se tenir sage, je me tiens debout, juste derrière la chaise où vient de s’assoir le Maître. Je comprends sur un simple claquement de doigts qu’il me faut venir à genoux m’installer entre Monsieur le Marquis et une belle Dominatrice, une grande blonde et pulpeuse Suédoise, à l’air sévère mais un visage fort beau, elle est nommée Maîtresse Ingrid par le Maître. - Mets les mains derrière la nuque ! m’ordonne le Maître. J’obtempère immédiatement, une main parfaitement manucurée glisse sur ma poitrine, deux doigts presse mon téton gauche. Je me laisse faire et ne bouge pas d’un iota, pourtant mon mamelon est étiré et douloureusement pincé. - C’est votre chien Monsieur le Marquis ? demande Maîtresse Ingrid - Oui je vous présente mon esclave, très chère ...