Retrouvailles passionnées
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
fdomine,
Oral
préservati,
... occasions. Des problèmes de circulation font que je n’arrive que cinq minutes avant devant l’hôtel. Il s’agit d’un de ces hôtels à bas prix qui existent partout en France. Alors que j’arrive devant la porte d’entrée, je reçois un nouveau texto : Après avoir salué la réceptionniste, je me dirige donc vers la chambre en question. Mais arrivé devant la porte, je reste immobile quelques instants. Je me demande dans quelle tenue je vais la trouver. Je commence à m’imaginer Marie-Ève, m’attendant allongée sur le lit, portant une guêpière noire, des bas et des escarpins noirs. Mon esprit vagabonde quelques secondes sur cette pensée puis je me décide à entrer. Je respire un grand coup et ouvre la porte. Là, mes espoirs sont un peu déçus : je la vois de profil, assise à une table en train d’écrire. Elle tourne la tête vers moi, me sourit et me dit d’entrer et de refermer la porte. Je m’approche d’elle ; elle est vêtue d’une simple robe d’été bleue à fines bretelles et de talons. Je me rends compte qu’elle est en train de corriger des copies. Alors que j’arrive à son niveau, elle tend la tête vers moi et se contente de me faire la bise avant de replonger dans son travail. — Assieds-toi, je n’en ai plus que pour quelques minutes. Je suis complètement décontenancé. Moi qui m’attendais à de folles étreintes passionnées, je me retrouve assis sur le bord du lit à la regarder travailler. Une fois la surprise passée, je la détaille quand même du regard et admire une fois de plus la beauté ...
... de cette femme mûre, et surtout ses jambes si magnifiquement dessinées. Alors que je suis perdu dans ma contemplation, elle m’apostrophe sans même lever la tête : — Tu as pensé moi ?— Euh oui, bien sûr… Tous les jours, même !— Je parlais de ce que tu devais me rapporter, me précise-t-elle en rigolant.— Ah oui, pardon. À ces mots, je sors le soutien-gorge de mon sac et le pose sur la table. Elle le prend, le porte à son visage et inspire profondément. — Je vois que tu t’es bien amusé avec… Je ne sais quoi répondre : j’ai beau l’avoir lavé, je ne peux nier qu’il sent encore mon sperme, vu le nombre de fois où je me suis branlé avec. Je bredouille quelques excuses : — Excusez-moi, je suis désolé…— Ce n’est pas grave, me dit-elle avec un sourire. En un sens, cela me flatte un peu. Elle le fourre dans son sac à main et replonge dans ses copies. Ce n’est que bien cinq minutes après qu’elle décide de se consacrer à ma personne. Je la vois reboucher son stylo et se tourner vers moi. Elle est maintenant assise face à moi, les jambes croisées avec sa robe qui remonte jusqu’à mi-cuisses. — Bon voilà, j’ai fini. À nous, maintenant ! Alors, comment vas-tu ?— Euh, bien… Elle mène la conversation pendant plusieurs minutes avec des banalités sur le temps qu’il fait, si je n’ai pas eu de mal à trouver, etc. Je ne comprends pas à quel jeu elle joue. Si elle ne voulait que discuter, pourquoi ne pas se retrouver à une terrasse de bar ? Elle se rend compte de mon étonnement, notamment par la ...