Le dîner
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
fsodo,
... esprits et le gel douche pour se laver mutuellement, mais cette fois-ci « sagement ». Avec une bonne demi-heure de retard, ils finissent par émerger de l’hôtel, en se tenant par la main et marchent vers le restaurant, qui n’est pas très loin. Avec un peu de chance, leur retard passera inaperçu, après tout, à Paris, tout le monde est constamment en retard ! Ils papotent, se regardent, se sourient, se taisent, bref, se comportent comme deux ados en transe et, il se dit que, quelque part, c’est bien ce qu’ils sont. En fait, ni elle, ni lui n’avaient pensé un jour (re)tomber amoureux ainsi… Oh ! Bien sûr, leur relation n’avait pas commencé dans les meilleures circonstances : il était marié, avait des enfants, bref, il était le prototype du cadre qui s’encanaille à moindre frais. Du moins vu de l’extérieur car, en vérité, les choses étaient un peu plus complexes que cela. Mais il n’avait pas envie d’y songer, non, il voulait surtout qu’ils profitent tous les deux de ces moments ensemble et point. L’avenir arriverait bien assez vite de toute façons. — C’est encore loin ? Lui demande t’elle tout à coup.— Non, plus tellement. En disant cela, il ne peut s’empêcher de s’arrêter pour la prendre dans ses bras et l’embrasser. Leur baiser est long, ils se serrent l’un contre l’autre et plus rien n’existe autour d’eux, hormis leurs langues engagées dans un ballet sensuel et enfiévré. Ils sont près d’une entrée d’immeuble et il peut voir du coin de l’œil une dame âgée sortir. La porte de ...
... l’immeuble étant assez imposante et lourde, elle se referme lentement. Pris d’une soudaine impulsion, il rompt prestement leur baiser et l’entraîne en la tenant par la main vers l’immeuble. Ouf, juste à temps avant que la porte ne se ferme complètement ! Ils entrent tous les deux dans un hall qui est assez imposant, bordé de grands miroirs de part et d’autre : un bel immeuble Haussmannien quoi ! Ils s’enlacent de nouveau et reprennent leur baiser là où ils l’avaient interrompu. Ses mains glissent dans le dos de sa maîtresse et passent sur le devant pour délicatement masser les seins à travers son chemisier. Du bout des doigts, il agace doucement les pointes qu’il sent durcir d’excitation. — Tourne-toi et regarde comme tu es désirable, lui dit-il. Une fois qu’elle est face au miroir, il écarte un peu les pans de son manteau et continue de palper sa poitrine tout en l’embrassant dans le cou. Elle gémit doucement et ferme les yeux, s’abandonnant à lui. — Ne ferme pas les yeux, je veux que tu regardes. Elle ouvre sagement les yeux et c’est un regard fiévreux qui lui est renvoyé par le miroir. Il lui mordille l’oreille et commence à déboutonner son chemisier, bouton après bouton, le plus lentement possible afin de jouir de sentir sa peau sur le bout de ses doigts. Quand le dernier est défait, il écarte les deux pans complètement pour exposer le soutien-gorge de dentelle blanche qui enserre ses deux superbes seins ronds et lourds. Sans quitter le reflet du miroir il se remet à masser ...