1. Ma tante de 45 ans est sublime (6)


    Datte: 23/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Nous nous regardions amoureusement ; j’annonçai à ma tante et à son bon souvenir que jeudi, j’allais avoir 19 ans. Nous passâmes la soirée sur la terrasse, Chantal ayant pris l’habitude d’allonger ses jambes afin que je lui caresse les pieds, ce dont je ne me lassais point. Dans la conversation, il m’arrivait que je me baisse pour les embrasser ; ma tante m’observait, un peu curieuse de la situation qui, au final, ne lui déplaisait pas. — Que voudrais-tu pour ton anniversaire ? Elle s’était juste mis en peu de fard. Je la regardais : ma tante était hyper-sexy sans les lèvres maquillées, avec ses yeux bleus. Je fondais devant elle. — Tu m’écoutes, Jean ? — Euh, oui. Eh bien, aucune idée. — Me voilà bien avancée... Il est 22 heures et je suis un peu fatiguée ; on va se coucher, chéri ? — Dormir avec toi, c’est une sorte de rêve éveillé, Chantal, lui dis-je en la dévorant du regard. — Wouah, quel compliment tu me fais ! — Allez, je te suis, ma belle amoureuse. Ma tante me regarda sur le moment, un peu mal à l’aise mais heureuse intérieurement. Je m’étais installé dans le lit conjugal, quand ma tante sortit de la salle de bain avec sa petite nuisette. Elle vint se coucher près de moi, se blottissant comme si elle avait besoin de tendresse. Je l’enveloppai de mes bras, sentant la chaleur de son corps près de moi. — J’aimerais sentir ta peau ; tu pourrais enlever cette nuisette ? — Oh, toi alors... Elle se redressa et ôta sa nuisette. Je pus au passage admirer le buste de ma ...
    ... tante, sa poitrine volcanique, ses épaules frêles à souhait. Ma tante était nue près de moi, la lumière tiède de la lampe de chevet me laissait encore entrevoir ses formes. Ça recommençait dans ma tête : j’avais ma tante dans la peau ! J’avais une envie d’elle pas possible ! — Chantal, quand tu m’as dit que tu sentais que tu étais amoureuse de moi, tu étais sincère ? — Oui, Jean. Ça m’ennuie de te l’avoir dit, mais, oui, je suis amoureuse de toi. — Viens te mettre debout sur moi... Ma tante me fit un sourire ; elle avait très bien compris ma volonté du moment. — C’est pas possible, tu es infatigable ! — On remet à demain, si tu veux... lui dis-je en bluffant. — Ah non, Jean ! Faudrait savoir ! — Comme tu insistes, ma tante, viens que je te fasse un câlin. — Tu ne manques pas de toupet ! Et Chantal s’exécuta en se posant en pauvre victime... Elle se mit debout sur le lit, puis s’agenouilla sur mon torse à la hauteur de mon cou. J’avais devant moi ma tante – enfin, sa chatte – à quelques centimètres de mon visage, et quelque chose me disait que cette jolie chatte n’aurait rien contre un peu de tendresse émanant de ma bouche. Somptueux de voir ma tante ainsi ; j’avais une vue d’elle "pyramidale" avec ses seins diaboliques. Nous nous prîmes les mains ensemble et je l’invitai à approcher sa douce intimité plus près de mes lèvres. Je devenais "gourmand" de ma tante, ou du moins, dans l’instant présent, c’était plutôt son sexe parfaitement épilé que j’avais envie de croquer à pleines ...
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