Mirna et Pablo (épilogue)
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... salauuuud ! Mirna était en train de couronner le sommet de Sodome !- Tu le vois, Pablo ? Tu vois comme mon petit trou commence à se dilater ?- Oui, comme maman…- Remouille tes doigts dans ma chatte, bébé ! Vas-y, sans crainte ! Bieeen ! Recommence avec mon anus… Mets-en trois… Waouh ! Mmmm ! Encore un, ouiii !- Ouiiiiii ! Ooooooohhhh ! Je jouiiiiiiis !- Eh, ben, ta douce maman… Mmm ! Maintenant, c’est mon tour !Je tournai ma tête pour vérifier que mon étalon était toujours dur et prêt. C’était le cas : une vraie machine à baiser !- Prends-moi fort ! … Ouffff ! Non, pas ma chatte ! Mon cul !Ce fut extraordinaire. Pablo s’était comporté comme une machine à coudre. Pendant un temps qui me paru très long, il me pilonna le cul, avec des va-et-vient constants, réguliers… Une sodomie « Lento ma non troppo » qui me fit jouir une nouvelle fois, mes cris étouffés contre l’oreiller.- Oh, putain ! Oui ! Branle-moi avec tes mamelles !!! Oh, putain, que tu es bonne !!!J’étais franchement épuisée. Comblée comme une chienne. Le nirvana absolu !- Encore, Sandra ?- Tu n’as pas éjaculé, Pablo ?- Non, pas encore…- Hum ! je n’ai plus de forces, là…- Maman me dit souvent la même chose…- Ah, bon ? Et que fait-elle ?- Elle me caresse avec ses seins…- C’est bon, c’est bon… ça arrive, aaaaaaaaahhhhhh ...
... !!!! Ouvre la bouche, beautéééé !!!- Ça va être difficile, avec mes petits nichons… Mais, viens, chéri. Je te ferai jouir quand même !On s’était allongé, l’un à côté de l’autre ; lui, sur le dos, moi, contre lui. Je saisis sa bite de ma main droite et le masturbai. Il ferma les yeux. Les rires de Mirna nous arrivaient, de plus en plus étouffés. Ils avaient fini, à l’évidence. Ma main le branlait à une cadence lente. Je m’endormais…- Sandra ?- Oh, pardon ! Tu veux que j’aille plus vite, non ?- Ce n’est pas ça… Tu crois que ma maman va m’abandonner ?- Pauvre chou… Arrête de penser de telles âneries. Ta mère ne t’abandonnera jamais…- Tu le dis pour que je me taise… Je ne suis pas idiot.- Non, tu n’es pas idiot… Tu es garçon très intelligent. Mais tu dois me croire, ta maman elle sera toujours là.- …- Tu veux que j’arrête ?- Non… Non, ça me plait beaucoup…Il mit encore cinq bonnes minutes avant de jouir. Ce fut la branlette la plus triste que je n’eus jamais faite. Pablo pleurait, les yeux fermés, geignant comme un enfant malade. Néanmoins, sa tristesse intérieure ne l’empêcha d’éjaculer une nouvelle fois, comme s’il ne l’avait pas fait depuis des jours.J’éteignis la petite lampe, l’embrassai sur le front et lui souhaitai une bonne nuit, collée à lui, comme une tique.--------------