1. Telle paire... tel fils. (1)


    Datte: 23/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... oui c’est grave... pas par téléphone.... 19 H 00... très bien. Je le garde jusque- là. Il ne retourne pas en cours. A tout à l’heure... Oui... Il me regarde à nouveau : - Bien! votre père va nous rejoindre. Il est sur la route. Nous verrons ce qu’il pensera de tout ceci. J’ai dû attendre sans rien faire tout le restant de l’après-midi. On m’a confisqué mon portable, sans doute pour que je ne puisse pas prévenir papa en amont. Enfin il arrive. On ne nous laisse pas le temps de nous parler. Les consignes ont dû être très strictes. - Eh bien que se passe-t-il ? - Oh, mais je laisse le soin à votre fils de vous le dire, s’il ose ! Mon père me regarde sévèrement. - Alors ? - Rien. J’étais juste en train de me taper une queue. Mon père regarde le vice-protal qui a l’air pour le moins surpris de ma franchise et de mon ton détaché. - C’est pour ça que vous m’avez dérangé ? - Comment, comment, comment.... On dirait bien que vous ne vous rendez-pas compte de la gravité de ce qu’il s’est passé, répond le fonctionnaire de l’éducation nationale en tressautant sur son fauteuil. - Vous m’avez fait peur. J’ai cru qu’il s’était battu, qu’il avait fumé de l’herbe ou qu’il avait volé quelque chose. Alors si ce n’est que ça ! - Mais enfin monsieur, on parle d’une masturbation ! - Oui, j’ai bien compris. On parle d’une masturbation. Tout le monde se masturbe ! Ce n’est pas une maladie, encore moins à 19 ans ! - Mais pas en cours ! - Ah ! C’était en cours ? - Oui p’pa. En cours de SVT. Tu sais la ...
    ... prof dont je t’ai parlée. J’étais bien caché mais elle m’a surpris... dommage. - Bon effectivement...Vu sous cet angle... Tu n’avais pas à faire ça. Tu vas aller t’excuser. - Mais Monsieur, vous prenez les choses à la légère. Tous ses camarades l’ont vu ! - Oui, bon.... Mais en parlant de légèreté, vous devez penser à la tenue de cette enseignante qui, d’après ce que j’en sais, a des vêtements très courts, trop manifestement. Le proviseur-adjoint semble en peu embêté. C’est difficile de ne pas en convenir sans une sacrée dose de mauvaise foi. Papa a pris un petit avantage. Le gars réfléchit, prépare sa réponse. - Monsieur Bolasse, n’inversez pas les choses. C’est ma collègue qui est victime de l’attitude irrespectueuse et choquante de votre fils. C’est carrément un attentat à la pudeur, pour le moins ! - Si une prof de SVT ignore ce que produit sur une flopée de jeune mâles à peine post-pubères, ses appâts étalés, ses décolletés plongeants et ses jupes si courtes qu’on lui voit la culotte, il faut qu’elle change de métier... Qu’elle en prenne un qui soit plus en rapport avec son accoutrement.... Il sont pleins de testostérone à cet âge là. D’après ce que je sais il n’y a pas qu’à mon fils qu’elle fasse de l’effet. Qu’elle adopte des tenues plus conformes à l’enseignement et le problème sera résolu. Quand on veut être respecté, on se respecte soi-même d’abord. De plus, mon fils se cachait. Il n’a rien fait pour être aperçu de sa professeur. Vous ne pouvez pas parler d’attentat ...
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