1. Lesbienne, ma femme ?


    Datte: 29/04/2019, Catégories: ff, voisins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, Lesbienne

    ... fesses et a découvert outre deux magnifiques cuisses de chair fraîche et appétissante, les rondeurs des fesses. La ficelle noire et étroite d’un string se tassait dans la fente et soulignait en gros trait noir le sillon des fesses, disparaissait entre les chairs puis dessinait un diamètre au cercle foncé de son anus dilaté par la position penchée, avant de marquer la séparation des grandes lèvres de sa vulve. Le tissu du gousset en tissu noir, mais quasi transparent, tendu par l’effort enveloppait fort heureusement son abricot marqué par le pli entre les lèvres charnues. Lydie, pourtant pas bégueule, avait porté une main devant sa bouche en me regardant, scandalisée de l’apparent manque de pudeur de la nouvelle. Chloé se releva, posa sa pile de papiers, se tourna vers moi pour s’excuser de sa maladresse. Elle réalisa alors que son sein gauche, un joli petit sein en forme de poire, mignon, frais et couleur de lait, adorable objet de dévotion, s’était évadé du balconnet de son soutien-gorge et montrait une superbe fraise rose et le bourgeon délicat de son téton bruni. Avec un naturel d’habituée, elle le saisit dans la coupe de sa main, le glissa dans son logement et le remit à l’abri de nos regard. La petite garce s’amusait à nous exciter. Ma secrétaire souvent espiègle, lui indiqua qu’une feuille avait glissé sous l’armoire basse. Chloé cette fois plia les jambes, se mit à genoux devant le meuble, puis à quatre pattes et plongea sa tête contre le linoléum pour inspecter le ...
    ... dessous du meuble. Ainsi accroupie, elle nous offrit un deuxième lever de lune, encore plus révélateur des formes rebondies de sa croupe bien musclée et de sa fente si peu cachée par le tissu arachnéen de son string. Lydie dut étouffer un fou rire dans ses mains. Je me calai sur ma chaise pour cacher l’émoi de ma verge en érection subite. « Monsieur » était un homme comme les autres ! Je bandais dur à la vue de cette nature peu avare de se montrer. — Excusez-moi, Chloé, j’avais cru… dit Lydie. Le visage rouge revenait à hauteur de table, les mains remballaient les deux seins jumeaux jaillis une nouvelle fois hors de leur abri. Cela justifiait pleinement mon exigence d’une tenue plus classique. J’avais acquis une certaine maîtrise de mon comportement, mais la vue de ces merveilles neuves m’avait ému. Certains hommes n’auraient pas manqué de saluer à haute voix, en termes grivois, l’exposition généreuse de ces trésors féminins. Lydie quitta le bureau pour se réjouir de sa petite farce. Je me contentai de sourire, mais j’eus du mal à me concentrer sur mon travail. La petite m’avait bouleversé. Je ressentis soudain un pressant besoin de faire l’amour. À midi, je renonçai à la cantine et décidai d’aller à la maison pour que ma femme, Louise, puisse profiter de mes bonnes dispositions subites. Voilà pourquoi, ce vendredi, exceptionnellement, je suis là, devant la porte de ma chambre entrouverte, planté, immobile, incapable d’émettre un son ou d’effectuer un mouvement, incrédule, ...
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