1. Fantasme commun


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fhhh, fsoumise, hdomine, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe sm, attache, yeuxbandés, totalsexe, fsoumisah,

    Elle était là. Elle attendait. Elle attendait son bon vouloir, l’instant où il se déciderait à lui donner son plaisir. Elle attendait depuis si longtemps déjà… Quand soudain, la porte s’ouvrit d’un geste vigoureux et sans appel. Il se tenait là, debout dans l’encadrement de la porte. Son bel amant, yeux de braise, barbe de trois jours bien entretenue, tout de latex vêtu et muscles saillants, pantalon moulant qui épousait parfaitement ses formes viriles et assumées, jambes écartées et bras croisés. Il la regarda, l’œil amusé et conquérant. Elle tressaillit à la vue d’un éclat brillant jaillissant de la main droite de son homme. Un cliquetis, un entrechoquement métallique se fit entendre, accompagné d’un petit rire cynique. Il sentait son envie grandissante, mêlée d’une peur qu’elle tentait désespérément de dissimuler. Elle subodorait qu’il n’était pas seul. Il jeta un œil furtif de côté : des pas, puis des voix étouffées. Des voix d’hommes, rauques, bestiales. Elle décrypta au moins quatre tons différents. Une porte claqua. D’autres pas, d’autres voix. Son cœur se fit soudain plus rapide, tous ses sens étaient en éveil. Elle était vêtue d’un long manteau de fourrure noire, le col légèrement ouvert qui laissait entrevoir une peau lisse et blanche, aussi blanche que celle de son amant était brune. Ses longues jambes fines étaient recouvertes d’un voile noir transparent avec un subtil liseré brodé derrière la cheville. Ses escarpins à talons vertigineux, cette pose savamment ...
    ... étudiée, faisaient d’elle une véritable femme fatale, malgré l’appréhension qui la tenaillait. Elle portait ses longs cheveux noirs et lisses attachés en une queue de cheval haute. Ses yeux clairs étaient soulignés de khôl, ce qui rendait son regard intensément profond. Il la regardait, la dévisageait. Il l’aimait. Il s’avança, regarda une dernière fois ses yeux d’un vert limpide, passa derrière elle, lui effleura la base du cou d’un geste tendre, remonta le long de son oreille et caressa sa tempe. Elle discerna alors un morceau d’étoffe soyeuse et fraîche. Il lui banda les yeux. Une bouffée de chaleur monta en elle, et elle esquissa un mouvement pour entrouvrir son manteau, mais déjà son maître bloquait un de ses poignets. Il l’enserra dans une des menottes et la ferma. Puis l’autre. Son souffle se fit plus court, plus saccadé, mais l’envie augmentait. Quand elle palpa un déplacement d’air. Des pas, des présences, des respirations, des chuchotements, des fragrances de musc et de cèdre… Son long manteau était à présent plus ouvert, du fait de ses poignets entravés en arrière. Ses jambes étaient maintenant décroisées, laissant apparaître la naissance de la dentelle d’un bas, retenu par l’attache du porte-jarretelles. Elle sursauta à la sensation d’une main chaude qui finissait de dévoiler le haut de sa jambe droite, passa le long de sa cuisse offerte et termina sa course sur son intimité, recouverte encore pour un temps, d’un mini shorty ouvert en latex noir. Une autre main, à ...
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