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Charlène, son neveu et ses pôtes (1)
Datte: 30/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou
... cris rauques. "Demande nous cce que tu veux, grosse salope! Je veux que vous me preniez comme une chienne. Je suis une chienne qui adore les bites!" Les mots m’échappent tellement l’excitation est grand. Je perds complètement le contrôle. "Tu es beaucoup trop mouillée, de ce côté! Mets toi en levrette!" Les types me lâchent et je prend la position souhaitée par mon neveu. Mouloud tient mes fesses écartées et présente ma rondelle à mon neveu. Celui-ci la lèche copieusement, la bourrant de salive. Abdel est passée sous moi et mordille mes tétons tandis qu’Ibrahim attend son tour. Mon neveu enfonce sans retenue un doigt dans mon cul puis exerce une rotation avec sa main pour préparer le passage. "Je vais t’enculer, traînée, c’est tout ce que tu mérites!" et joignant le geste à la parole il crache sur son dard et le présente à mon anus. L’intromission est complexe malgré l’élasticité des chairs, car son gland est fort gros. Il ne bouge pas et c’est moi qui par poussées de reins successives lui ouvre la voie de mon intimité la plus étroite. Peu à peu sa bite m’envahit jusqu’à ce que ses couilles viennent butter contre mon arrière train. Là, il prend un temps d’arrêt puis me laboure avec vigueur. Ibrahim se charge de branler mon clitoris avec toute sa paume pour compléter mon émoi. ...
... Je jouis sans retenue, plusieurs fois. Ma croupe s’agite dans tous les sens sous l’étreinte de mon neveu, jusqu’à ce que celui-ci décharge dans mes entrailles en me traitant de sale pute. Il décule finalement et laisse sa place à ses potes qui vont ainsi abuser de mon cul et de ma chatte tant qu’ils le peuvent. Je suce avec gloutonnerie les dards de ceux qui attendent ou qui souhaitent finir leurs ébats par une fellation soignée. Je suis engluée dans leur sperme qui s’écoule de tous mes orifices. Je ne compte plus mes orgasmes depuis longtemps. Tout cela va durer une bonne partie de la nuit. Leur jeunesse leur permettant de m’honorer à nouveau après quelques instants de répit. Jamais je n’ai connu pareille jouissance et il a fallut que ce soit mon propre neveu qui me fasse découvrir ce plaisir. Le lendemain vers onze heures, je suis encore fourbue quand l’heure du départ arrive. Mon neveu me réveille d’une claque sur les fesses en guise d’au revoir. J’enfile un peignoir et les rejoins dehors pour les saluer. Nous buvons un café puis ils me quittent en m’embrassant un à un sur la bouche, tout en me tripotant une dernière fois. Ils me font promettre d’aller les voir, ce à quoi je souscris finalement. Qui sait nos retrouvailles feront peut-être partie d’une autre de mes histoires.