Une rencontre singulière
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
hépilé,
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
cérébral,
pied,
rasage,
Oral
nopéné,
hdanus,
hgode,
sm,
fouetfesse,
init,
hsoumisaf,
... — Je vais t’apprendre comment servir convenablement ta Maîtresse, me dit-elle. Quand tu viens m’apporter quelque chose que je t’ai demandé, tu te places à genoux à mes pieds et tu me le tends bien haut au-dessus de ta tête. Une fois que j’ai pris l’objet demandé, tu te prosternes, tu m’embrasses les pieds et tu me remercies de te laisser me servir. Je le fais. Je lui tends la bière et dès qu’elle la prend, je couvre ses pieds de baisers, puis je lui dis : « Merci, Maîtresse, de me permettre de vous servir. » Ensuite, elle m’ordonne de m’allonger à plat-ventre devant elle pour lui servir de repose-pied. Elle pose ses pieds sur mes fesses puis se roule un deuxième joint, qu’elle déguste tout en buvant sa bière. Au bout de quelques minutes, elle tend le joint devant mes lèvres en me disant de ne pas bouger, juste de tirer des bouffées. Puis elle le reprend et j’attends patiemment, ses pieds reposant confortablement sur mes fesses. Après quelques instants, elle me fait fumer le reste du joint, puis s’allume une cigarette pour finir sa bière. Puis elle me demande de me mettre en position de soumission. Je m’exécute. Je l’entends se lever et s’éloigner du coin canapé. Elle m’ordonne de ne pas bouger et de fermer les yeux. Et peu de temps après, je l’entends tourner autour de moi. Elle me caresse les fesses puis revient devant moi. — Ouvre les yeux, me dit-elle. J’ouvre les yeux. Adélaïde se tient devant moi, entièrement nue. Ses seins sont deux magnifiques globes que couvrent à ...
... peine ses longs cheveux noirs qu’elle a placés devant sa poitrine, laissant apparaître des tétons roses et turgescents de désir, tandis qu’elle garde les mains derrière le dos comme pour me cacher quelque chose tout en cambrant fièrement son irascible poitrine. Mon regard descend plus bas, entre ses jambes. L’absence totale de pilosité laisse apparaître le délicat fruit fendu sinon défendu. C’est Aphrodite sortant des flots écumeux, c’est ma déesse que j’adore. J’ai plus que jamais le désir d’être à ses pieds, de me fondre en elle, d’être sa chose, son esclave consentant, son objet sans défense. C’est pourtant ce que je suis, dans cette position à la fois humiliante et délicieuse, où mon sexe, mes couilles, mon cul, lui appartiennent totalement. Je ne croyais pas dire si vrai alors que ces pensées éparses traversaient mon esprit. Adélaïde s’accroupit devant moi, les mains toujours derrière le dos. Elle pose ses lèvres sur les miennes et enfonce sa langue dans ma bouche. Tout en gardant mon humiliante position, je réponds passionnément à son baiser. — Ne t’inquiète pas, mon pauvre petit esclave, tu n’as rien à craindre de moi. Je ne t’obligerai jamais à rien de plus que tu ne veuilles faire. Nous sommes libres tous les deux. Avec moi, pas de chaînes, pas de cuir, pas de fouets et surtout pas de toutes ces coutumes vulgaires qui donnent une image si détestable d’un art d’aimer qui autrement serait sublime. La soumission ne vaut rien lorsqu’il y a contrainte. Maintenant, je ne ...